Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAME OF LIFE

  • Que penser du jeu Duke Nukem Forever ?

    Le jeu Duke Nukem fut un must parmi les Doom like des années 2000. Voici la suite, pas très bonne, Duke Nukem Forever 

    Duke Nukem Forever.JPGBref le lendemain je décidais quand même de m’y remettre, le jeu alterne des scènes de combats, casse tête pour sortir d’une pièce, courses de voiture, séquences en hélicoptère ou même dans le célèbre duke’s club (qui n’est autre qu’une boite à strip tease ou vous devrez retrouver quelques objet afin d’obtenir les faveurs d’une belle). Le tout aurait pu être sympa si l’intelligence artificielle du jeu n’était pas aussi primitive… des ennemis aussi bêtes, on se demande comment ça peut encore exister aujourd’hui.

    Le temps de chargement quand vous mourrez est également très long. C’est assez pénible sur certaines scènes de jeu assez complexes où vous êtes obligé d’attendre 10 à 15 secondes avant de pouvoir retenter le passage délicat.

    Un gros point noir du jeu pour moi a été aussi la maniabilité à certains endroits, lorsqu’il faut escalader une statue par exemple … le calvaire … ou alors pour gagner quelques points de vie vous devrez rentrer toutes les billes du billard… bon courage … je n’ai pas vu un truc aussi mal fait depuis des décennies …



    Plein de clins d’œil sont fait en relation avec Duke Nukem 3D, comme uriner dans les toilettes, s’admirer dans les miroirs ou pouvoir interagir avec les différents éléments du jeu.

    En résumer, ce jeu aurait pu être sympa, mais face au jeu d’aujourd’hui il ne tient pas la route. Surtout qu’il est sorti pendant l’E3 où toutes les futures bombes des jeux ps3 nous étaient présentées. Le coté macho et viril du personnage était sympa il y a quelques années, mais là c’est trop poussé à l’extrême et ça le rend limite antipathique. Bref ce jeu a été une belle déception pour moi surtout après autant d’années d’attente … On a l’impression qu’il a été bâclé, de bonne idées sont présentes mais mal exploitées et mal réalisées c’est dommage.

    La note que je décerne à ce jeu : 4/10

    Les points négatives :
    - Graphismes à la traine
    - IA déplorable
    - Maniabilité franchement pas terrible
    - Vulgarité à outrance et sans intérêt
    - Temps de chargement

    Les points positives :
    + Les mini jeux dans le jeu (basket, flipper, billard,….)
    + Les clins d’œil pour les fans de Duke
    + Les différentes phases de jeu (tire, conduite, casse tête)

     

     

     

  • Que penser du jeu Playstation sorti en 1996 : Pandemonium ?

     

    Pandemonium.JPGComme pour Tony Hawk’s Pro Skater et Tomb Raider, le travail d’adaptation a été excellent et le jeu se révèle presque identique à la version PSOne. Au programme, des graphismes en 3D très joliment texturés, des personnages assez biens faits et une variété des niveaux tout à fait respectable. On passe de la jungle au désert, d’une scierie à la calotte polaire et tout ça dans des niveaux ne reprenant jamais les mêmes textures et faisant généralement preuve d’imagination. Par-contre, il est fort dommage de constater que le jeu se met parfois à sévèrement saccader quand la caméra affiche une grosse partie des niveaux. C’est assez gênant mais dans l’ensemble, le jeu s’en tire plutôt bien compte-tenu de sa richesse graphique.

    Pour continuer sur les défauts, citons probablement le plus gros d’entre eux : l’absence totale de musiques d’ambiance. Aussi bien dans les parties que dans les menus, le silence est de mise et les bruitages - assez moyens - n’arrivent guerre à immerger le joueur dans la partie. La chose ne m’avait pas inquiété sur la version bêta du jeu, vu que - justement - il s’agissait d’une version non-définitive et qu’il paraissait impensable de mettre dans le commerce un jeu sans musiques. Je m’étonne donc de cette bien mauvaise surprise... À coup sûr, Eidos a préféré les supprimer pour gagner de la place et éviter de vendre le jeu sur des MMC plus grosses (et donc plus chers), mais là, la pilule a du mal à passer et le jeu en prend un coup...

    Concernant la jouabilité, rien de spécial à signaler. Le bon vieux système du jeu de plates-formes a fait ses preuves depuis longtemps et continue à les faire ici. La caméra ne pose jamais de problèmes et le jeu reste assez difficile pour ne pas être terminé en quelques heures.


    N-Gage Arena


    Tout comme les autres jeux adaptés par Ideaworks 3D, Pandemonium dispose d’un mode N-Gage Arena qui vous permettra de combattre avec d’autres joueurs pour évoluer dans le classement mondial. Les parties se déroulent sous forme de duels où vous pouvez - à tout moments - affronter n’importe quel joueur pour essayer de faire mieux qui lui et donc gagner des points.

    Il est également possible de voir des tutoriaux afin de passer certains passages délicats ou de voir comment accéder aux passages secrets et bonus cachés dans les niveaux.


    Conclusion


    Pour conclure d’une façon clair, Pandemonium est incontestablement un des jeux qui vous donnera le plus de plaisir parmi ceux déjà sortis jusqu’ici. Proposant un gameplay simple mais efficace, des graphismes colorés et variés, une aventure assez longue, un bonne histoire et un mode N-Gage Arena divertissant, le soft d’Eidos est clairement un jeu à essayer. Vous arriverez certainement à faire abstraction de ses quelques petits défauts...

  • Retour sur un jeu Playstation sorti en 1996 : Pandemonium

    Pandemonium.JPGÔ joie de retrouver sur N-Gage les aventures de ces deux personnages forts sympathiques que sont Nikki et Fargus. Après avoir passé quelques années paisibles, Eidos a décidé de les sortir de leurs oubliettes pour retrouver une seconde jeunesse sur la console portable de Nokia. Comme vous allez le voir, c’était une bien bonne idée...

    Sorti sur la désormais défunte (et encore...) Playstation en 1996, Pandemonium est passé plutôt inaperçu. Non pas que le jeu soit mauvais, bien au contraire, mais les foules ne se sont à l’époque pas vraiment passionnées pour ce jeu assez flashy. Enfin, ce non-succès très relatif n’a pas découragé Eidos, qui a sorti un second volet quelques mois plus tard.

    En adaptant Pandemonium sur N-Gage, Eidos espère bien redonner un chance à son titre en profitant du fait que le catalogue des jeux disponibles sur N-Gage soit encore restreint pour assurer au jeu une seconde vie commerciale.

    Grâce à de nombreuses qualités, Pandemonium est clairement un des jeux qui méritent le coup d’œil actuellement, et nous allons maintenant voir pourquoi...


    Loufoque et drôle...


    La première des qualités de Pandemonium, c’est de nous proposer un univers original, à l’esprit complètement décalé, drôle et loufoque. Pour en savoir plus sur l’histoire, mieux vaut se rendre dans le manuel du jeu, qui se révèle bien plus détaillé que les textes qui défilent à l’écran. Pour résumer, Pandemonium nous conte les aventures de trois personnages malchanceux : Fargus le bouffon, accompagné de sa marionnette baptisée Sid, et Nikki, une acrobate travaillant dans un cirque. Un jour, ce beau petit groupe va bien malgré lui faire apparaître un énorme monstre qui va ravager la ville de Lyr, où se trouvent nos trois compères.

    Désormais, ils devront tout faire pour arriver à réparer leur bêtise et éradiquer ce monstre avant qu’il ne soit trop tard...

    C’est donc dans ce contexte que les aventures de Pandemonium débutent. Tout au long des 11 longs et beaux niveaux, vous allez affronter de nombreux ennemis et vous aventurez dans des endroits parfois magnifiques.

    Le deuxième point fort du jeu de Crystal Dynamics est de proposer le choix entre deux personnages (Fargus et Nikki bien sûr). Les deux possèdent des avantages et inconvénients. Fargus est le seul à pouvoir attaquer directement ses adversaires grâce à ses cabrioles et Nikki peut de son côté sauter beaucoup plus haut, ce qui lui permet souvent de gagner du temps ou de rebondir sur ses adversaires afin de s’en débarrasser.

    Les deux aventures sont malheureusement strictement identiques et celle de Nikki se révèle plus amusante (ça reste une question de goûts évidemment...).

  • Que vaut le jeu Duke Nukem Forever ?

    Duke Nukem Forever.JPGComme tout bon gamer je me suis pré-commandé la version collector de Duke Nukem Forever. Ce fameux doom like qui a bercé mon enfance … pouvoir à nouveau boire des bières en regardant un magazine porno, uriner dans les toilettes … que de souvenir mémorables pour l’époque. Quatorze ans d’attente ça valait bien le coup d’investir dans une version collector qui avait l’air vraiment sympa, avec ce buste si impressionnant sur la photo, ses jetons de poker ou encore son jeu de cartes …

    L’histoire de Duke Nukem Forever 

    L’histoire de Duke Nukem Forever se déroule 12 ans après le dernier opus : Duke Nukem 3D. Pour rappel, dans ce dernier, Duke, à lui seul, avait combattu et repoussé une horde de méchants aliens qui voulaient envahir Los Angeles. L’action se passe aujourd’hui à Vegas, célèbre ville du jeu, que certains joueurs de poker en ligne doivent bien connaitre. Ce temple du jeu est entièrement dédié au culte de notre héros, statues à son effigie, babes à gogo ne désirant qu’une seule chose … lui !!! Bref, tout se passe bien dans le meilleur des mondes jusqu’à ce que … les aliens décident de revenir semer la terreur obligeant notre héros à reprendre du service. En voilà pour l’histoire, je vous laisse le suspens de jouer au jeu pour connaître la fin.

    Avis sur ce jeu

    Ma première impression du jeu fût assez désastreuse pour tout vous dire, rien que l’installation du jeu peut en refroidir plus d’un … une éternité avant de pouvoir enfin commencer une partie !! Vous me direz après 14 ans d’attente on n’est plus à quelques minutes près mais quand même !!!

    Ça y est le jeu se lance, et là encore une grosse déception, graphiquement je m’attendais à mieux, venant de jouer à L.A noire et Cod black ops, le contraste peut surprendre. Un autre coté qui m’a fortement déplu c’est le niveau de grossièreté et de vulgarité de ce jeu, soit je ne me rappelle plus de l’ancien opus, ou alors je n’ai plus l’âge pour apprécier ce genre d’humour … Penser qu’une équipe d’adulte est payée pour afficher un tel niveau de bassesse laisse perplexe. Au bout de quelques heures de jeu j’ai préféré retourner sur pokerstars histoire de m’adonner à un de mes jeux préférés…. Entre un las Vegas vulgaire et macho à souhait, et un bon site de poker en ligne le choix est vite fait. Je ne comprends d’ailleurs pas que personne ne se soit offusqué de l’image rabaissante de la femme qui est montrée dans ce jeu …

    à suivre ...

  • Avis sur le jeu Zombie Panic in Wonderland - suite

    Car il faut le dire, Zombie Panic compense son faible contenu par une difficulté assez élevée. C’est pourquoi, outre le fait d’augmenter votre score, si le décor est entièrement destructible, c’est aussi et surtout parce que certains éléments renferment bonus et munitions bien utiles pour votre survie. En plus de cela, il vous faudra vite voir et déceler les points faibles de chaque ennemi. Bien qu’ils succomberont à vos tirs quoi qu’il advienne, un zombie sera plus vulnérable à la tête alors que les gros lards, ressemblant aux boomers de Call of Duty : LCV ou Killzone 3, seront plus sensibles au ventre. Toutefois, l’élément central du gameplay réside dans l’esquive. Via une simple pression du bouton Z, votre personnage effectue une pirouette à la Jet Li lui permettant d’éviter tout projectile. Ce mouvement devient alors vite indispensable si vous voulez atteindre l’objectif, d’autant plus que vous faire toucher quatre fois est synonyme de game over ! La dernière subtilité du gameplay est la possibilité de se dégager lorsqu’un zombie vous étreint en appuyant plusieurs fois sur la gâchette de tir. Pour les moins acharnés, sachez cependant que les continues sont illimités et vous pourrez recommencer au début du niveau, sans devoir vous coltiner une nouvelle fois, les stages précédemment accomplis. Mais dans ce cas, votre score sera réduit à zéro.

    Akaoni, pensant au fun avant tout, nous offre un soft avec un design très chiadé compatible 480p. Les niveaux sont colorés et chatoyants, les animations sont soignés. Comment ne pas sourire lorsque l’on voit pour la première fois un gros tas foncer sur vous, bras en l'air, la bedaine valsant de haut en bas, la bouche grande ouverte avec la moitié des dents en moins, pour vous asséner un coup de postérieur ? Le décor explose, des fleurs de cerisier volent, des arcs-en-ciel apparaissent, la poussière vient nous brouiller la vision… En plus de cela, un mode deux joueurs bien sympathique est inclus même si cela devient réellement un foutoir monstre. Malgré tout, force est de constater qu’aucun ralentissement ne vient perturber le jeu. Pour finir, des surprises sont à débloquer pour les plus aguerris dont un niveau bonus extrêmement difficile et un personnage que je vous laisse découvrir par vous-même.

    En revanche, le jeu n’est pas tout blanc. Pour commencer, son principal défaut est son interface vraiment pas intuitive. Il n’y a aucun bouton pause. De ce fait, impossible de revenir au menu principal et on est contraint d’utiliser le bouton Home pour réinitialiser le jeu ou d’attendre le game over. Lorsque l’on veut jouer un certain niveau et que l’on en choisi un autre par inadvertance, cela peut finir par peser. Le deuxième problème est la caméra, un peu trop proche, qui empêche de savoir ce qui se situe sur les cotés lorsque l’on se déplace. Certains ennemis lançant des boomerangs, il arrive de se prendre ces tirs masqués en pleine poire, sans pouvoir anticiper quoique ce soit. On peut également regretter le fait que les armes soient identiques pour chaque personnage. Même si les armes de corps à corps pour se dégager des étreintes varient entre chaque perso, avoir une arme principale à munitions illimités, comme la mitraillette légère, spécifique à chaque perso pour leur donner une identité propre n'aurait pas été de refus. Enfin, si les bruitages s'inscrivent dans la plus grande tradition des animés japonais, les musiques drôles et entrainantes bien que répétitives, on peut regretter l’absence de voix durant les scènes entre chaque stage.

    Au final, Zombie Panic in Wonderland est un jeu fun avec un certain challenge. La possibilité de jouer à deux, les bonus cachés, le mode difficile et un classement pour les amateurs de scoring donne au titre Akaoni Studio une rejouabilité certaine. Malgré ses défauts, il n’en reste pas moins un jeu sympathique pour seulement 10 euros, alors pourquoi pas ?

  • Des éditeurs de jeux écologiques pour la planète

    Certains éditeurs de jeux sont entièrement spécialisés dans le domaine des jeux dont la fabrication respecte l’environnement et dont le thème de jeu aborde l’environnement, la rénovation énergétique ou la nature.

     

    Bioviva Editions

    http://www.bioviva.com

    Les jeux de Bioviva Editions sont écologiques dans le fonds (les sujets abordés sont exclusivement liés à la nature) et dans la forme (les jeux sont entièrement éco-conçus).

    Des jeux pédagogiques

    Les jeux Bioviva sont tous directement ou indirectement liés au thème de la préservation de l’environnement et de la nature. Ils proposent de nombreuses informations, notamment grâce à des jeux de questions et énigmes très pédagogiques : par exemple apprendre les métiers liée à la construction écologique ou les artisans en rénovation énergétique...

    Des jeux écologiques

    Bioviva a été la première société d’édtions de jeux à fabriquer des jeux entièrement recyclés et recyclables : papiers et cartons recyclés, les encres sont d’origine végétale, boîte de calage à l’intérieur des jeux ne nécessitant aucun point de colle, pions en bois certifié PEFC, sachets en coton biologique... Leur fabrication est exclusivement française dans la Drôme

    Des jeux… ludiques

    Certains jeux traitant du thème de l’environnement peuvent privilégier la pédagogie au caractère ludique du jeu. Ce n’est pas le cas des jeux Bioviva qui développent réellement des mécanismes intéressants de stratégie, coopération, dynamisme, ambiance…

    Arplay Editions

    Arplay Editions est un éditeur de jeu spécialisé dans l’environnement, la nature et le jardin. Leur slogan est « Jouons avec la nature pour mieux la protéger ».

    Arplay favorise l’emploi de matériaux recyclés, d’encres végétales et encourage le travail de jeunes auteurs indépendants et les fabrications nationales.

    Cette société possède un catalogue de jeux sur l’environnement très complet :
     des jeux de stratégie, de hasard, d’ambiance, d’adresse…
     des puzzles, des memories, des jeux de cartes, des jeux de société, des jouets en bois pour les plus petits…
     sur la flore, la faune, le jardinage, les déchets, l’eau, le développement durable…

    Mindscape

    Mindscape n’est pas strictement un éditeur de jeux écologiques, mais proposent de nombreux jeux sur ordinateur sur le thème de la nature et l’environnement.

    Ces jeux sont non seulement généralement très intéressants, avec un graphisme de qualité et très pédagogiques : l’Odyssée Sibérienne, Adibou Nature, Zoombinis archipel en danger, C’est pas sorcier mystérieuse disparition en Amazonie…

    Des petits éditeurs spécialisés

    Certains jeux sont édités par des sociétés familiales ou de petites tailles répondant souvent à des convictions fortes en matière de protection de l’environnement :
     Idsolaires   propose un kit ludo pédagogique sur les énergies renouvelables : une bande dessinée, des livrets d’expérimentation et un jeu autour du personnage Solix.
    - Adventerra Games (http://www.adventerragames.com) est un éditeur de jeu italien qui propose des jeux éco-conçus sur l’environnement comme Jeu d’eau.
    - Arthur et compagnie (http://www.arthur-et-cie.com) édite des jeux sur ordinateur sur la protection de l’environnement pour les plus petits mettant en scène Tidou un petit nuage écologiste.

    Des associations et institutions

    Des associations et institutions liées à la protection de l’environnement proposent également des jeux dans un but généralement pédagogique.
     Frapna  avec le Jeu de l’eau,
     Ligue de Protection des Oiseaux  vec une peluche sonore,
     Eco-emballages avec des jeux éducatifs sur internet concernant les déchets,
     Ademe  avec des jeux pédagogiques divers.

     

  • Avis sur le jeu Zombie Panic in Wonderland

    Gammick Entertainment et EnjoyUp sortaient en 2008 aux US, Zombie BBQ sur NDS, un jeu de shoot basé sur une parodie gore des contes populaires. Le jeu avait été très bien accueilli par la presse anglo-saxonne. Akaoni Studio, société espagnole, fondée par d’anciens salariés de Gammick et EnjoyUp, remettent le couvert avec Zombie Panic in Wonderland, un TPS frénétique exclusivement disponible sur le WiiWare pour 1000 points seulement.

    Le scénario du jeu  Zombie Panic in Wonderland

    Il était une fois dans le pays des Merveilles, Momotaro, un jeune héros rentrant au village. Voulant s’acheter des boulettes, il découvre avec stupeur que les villageois ont été transformés en zombies à cause d’un parfum propagé de manière plutôt étrange par des nains. Il n’en faut alors pas plus pour dézinguer toute chose susceptible d’être une menace à travers neuf niveaux divers et variés, découpés en trois chapitres distincts basés sur Momotaro, Le Magicien d’Oz et Blanche-Neige, en vue de clarifier ce mystère. On se retrouve ainsi à incarner Momotaro, Dorothy Gale et une très sexy Blanche-Neige.

    La façon de procéder pour chaque zone est la même. Le but est d’exterminer tout les monstres dans un temps limité et de faire monter le pourcentage "clean-up" se situant au bas de l’écran à 100%. Pour cela, rien de plus simple, il suffit de pointer la Wiimote à l’écran comme dans un rail-shooter et de déplacer votre personnage avec le stick du Nunchuck. Mais la première constatation évidente est qu’à l’inverse de Zombie BBQ où l’on avançait dans les niveaux, on ne peut ici que strafer de droite à gauche de l’écran. De ce fait, les monstres arrivent par vague et en anéantir une en fera apparaître une autre, puis une autre, et ainsi de suite jusqu’à ce que le quota de monstres abattus soit atteint. Afin de décimer la vermine morte-vivante, vous disposez d’une mitraillette légère, d’une mitrailleuse lourde, d’un lance-flammes et de grenades, facilement switchable grâce au bouton C du Nunchuck. Cependant, si la première arme est à munitions infinies, ce n’est pas le cas pour les autres. Ainsi, économiser ses munitions pour les utiliser en cas critique ou contre des monstres résistants ou très mobiles semble être la plus judicieuse des idées.

    • Editeur : Nintendo

    • Développeur : Akaoni Studios

    • Type : Action / Third Person Shooter

    • Support : WiiWare (jaquette non officielle)

    • Sortie France : 09 avril 2010

    • Classification : Déconseillé aux - de 12 ans

    • Multijoueurs : Jusqu'à 2 joueurs offline

     

  • Test de la PSP GO - suite

    Suite de notre test de la PSP GO : 1er partie ici  http://bonifas.hautetfort.com/archive/2023/08/04/test-de-la-psp-go-6455356.html

    On notera deux tampons en arc de cercle à l’arrière de la console qui nous permet de la poser sur une surface plane , sans risque de la voir malencontreusement glisser et tomber sur un sol bien dur . On notera aussi l’incorporation d’un micro intégré et de surcroits de très bonne qualité , pouvant par exemple être utilisé avec le logiciel skype déjà présent dans le MXB de la PSP .  La prise usb , ne se trouve plus au dessus , mais en dessous de la console et partage la fonction avec le câble d’alimentation de la batterie .  Batterie dont les capacités sont toujours aussi lamentable , il faut le reconnaitre . Comptez 5h00 de jeu intensif avant de devoir la recharger . Et ne comptez pas jouer en rechargeant vôtre console car le câble fourni avec est simplement ridicule ! Seulement un petit mettre de liberté entre la prise et vôtre PSP GO . Donc à moins d’être collé à une prise , vous aurez bien du mal . Un comble pour une console portable .  L’écran quand à lui , plus petit , est quand même de bien meilleure qualité tant au niveau du contraste qu’au niveau des reflets de la lumière . Vous pourrez jouer en extérieur sans trop vous soucier des reflets du soleil .

    La dématérialisation complète de la PSP GO quand à elle n’apporte rien de bon .  Déjà pour tout collectionneur qui se respecte , mais aussi cela oblige à pas mal de sacrifices . Surtout sur la PSP GO . Si on veux jouer , faut attendre . La première étape consistera à vous créer un compte PSN si vous n’en aviez pas un avant . Ensuite il vous faudra télécharger le jeu désiré ce qui peu prendre plus d’une heure suivant la taille du titre voulu , ajoutez encore vingt bonnes minutes pour faire l’installation de ce dernier sur la console . Sans compter que tout ceci  bouffera littéralement la batterie ! De plus si vous passez à la PSP GO alors que vous aviez déjà une PSP avant , il ne vous sera pas possible de profiter de vos anciens jeux UMD sur la GO . Sony permet tout de même d’en récupérer trois gratuitement , mais trois seulement sur une bonne quinzaine tient du foutage de gueule ( n’ayons pas peur des mots ) . De plus à l’heure ou ces lignes sont rédigées sachez que peu de titres du catalogue PSP sont disponible sur le PSN , donc il est fort probable que le ou les jeux que vous vouliez ré-avoir sur la GO ne soient pas disponibles . On a vraiment l’impression d’être prit pour des vaches à lait .

    Pour résumer , la PSP GO n’est pas une mauvaise console en soi , mais si vous avez déjà un modèle antécédent nous ne pouvons que trop vous conseillez de passer outre ce modèle  .  La PSP GO n’offre pas la meilleure ergonomie , mais reste tout à fait jouable . Mais pour gagner en ergonomie sachez tout de même qu’avec le dernier firmware 6.00 exclusif à la PSP GO vous aurez la possibilité de relier votre console à votre téléphone portable ce qui a pour but de pouvoir vous connecter au net depuis n’importe où sans utiliser d’accès WIFI , mais aussi et surtout de pouvoir utiliser une manette PS3 pour prendre le contrôle de la PSP GO . Jouer avec une manette PS3 sur la PSP apporte une prise en main beaucoup aisée , plutôt que d’utiliser le stick de la console . La PSP GO s’adresse donc d’avantage aux personnes n’ayant pas eu d’autre modèle avant , auquel cas , les autres préfèreront rester sur leur ancien modèle et continuer de profiter de leur jeux en UMD .