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GAME OF LIFE - Page 5

  • Pokemon X & Y : Comment obtenir Celebi !

    Alors que l’on attend tous de voir les trois nouveaux Pokémon Légendaires dans Pokémon X et Y, on découvre aujourd’hui l’arrivée d’un Pokémon Légendaire mythique : Celebi ! Comment obtenir ledit Celebi dans Pokémon X et Pokémon Y ?

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    Bonne nouvelle pour tous les gamers ! Vous pensiez que les nouvelles versions de Pokémon étaient bonnes à jeter au fond de votre placard ? Revoyez votre jugement ! En effet, alors qu’il reste quelques mystères non résolus dans Pokémon X et Y, l’intérêt pour la 6ème génération de Pokémon pourrait accroitre avec l’annonce du jour : Nintendo mettra bientôt à disposition des Celebi pour tout le monde ! Comment obtenir le gardien mythique de la forêt dans les nouvelles versions et ainsi compléter son équipe parfaite dans Pokémon X et Y ? On vous en dit plus !

    Alors que le commun des mortels se tâte encore à prendre un abonnement pour la banque Pokémon, la version Online de Pokémon X et Y, on découvre aujourd’hui un gros avantage ! Payer 5€ ne sera donc pas si inutile que ça au final sachant que pour toute inscription avant le 30 septembre 2014, un Celebi sera offert au gamer ! Une bonne nouvelle qui devrait redonner un peu d’intérêt à un jeu que l’on a tous terminé. Maintenant, on espère pour noël que Nintendo nous en dira plus sur le nouveau trio légendaire de Pokémon X et Y !

  • South Park : Nos premières impressions

    A quelques semaines de son arrivée dans les bacs, South Park : Le Bâton de la Vérité s’est laissé approcher de très près durant une petite heure. Une première beaucoup trop courte à notre goût mais suffisamment longue pour nous enthousiasmer.

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     Du côté de South Park, la tendance chez les jeunes n’est pas au Pogs, aux billes et autres cartes Panini (les gosses n’en sont peut-être plus là mais on fait avec les références qu’on a…). Dans la célèbre contrée enneigée créée par Trey Parker et Matt Stone, le grand délire du moment est un jeu de rôle grandeur nature dans lequel les humains luttent pour leur survie face à d’horribles elfes noirs. Ces derniers briguent en effet la plus précieuse relique de l’humanité, le Bâton de la Vérité, un simple bout de bois qui confère à son détenteur le titre de Maître de l’Univers. Les écoliers se sont donc séparés en deux camps et se livrent au quotidien à une guerre acharnée pour conserver / récupérer le précieux.

    South Park : New kid in town

    C’est dans ce contexte pour le moins particulier que prend place l’aventure. Pour ceux qui en seraient encore au stade du fantasme, rappelons que South Park : Le Bâton de la Vérité ne donne pas le premier rôle aux quatre joyeux lurons que sont Stan, Kyle, Cartman et Kenny. Après l’introduction qui pose avec gravité les grandes lignes du monde dans lequel nos petits écoliers s’évadent, le jeu s’ouvre en effet sur la création d’un avatar. Couleur de peau (avec la possibilité d’opter pour un teint hâlé à l’autobronzant, comme un bon kéké du New Jersey), coupe de cheveux (frange, mèche à la Justin Bieber, à la brosse ou tresses collées à la Sean Paul du début des années 2000, notamment), couleur des cheveux (du plus classique au plus excentrique, genre orange), tenue vestimentaire avec un haut (on a opté pour un Jacquard, histoire de se donner un air bourgeois) et un bas, signe distinctif du visage (acné, cocard, tâche de rousseur…) et éventuellement lunettes doivent être choisis pour donner forme au héros qui nous accompagnera dans cette épopée. Une étape importante donc, même si l’on a remarqué que tout n’était pas figé et qu’il était possible par la suite de grimer son personnage à l’aide d’accessoires trouvés çà et là.

    Pour mieux propulser ce personnage complètement anonyme dans l’histoire, les scénaristes ont eu la bonne idée d’en faire un nouveau venu à South Park. L’aventure débute alors que celui-ci vient tout juste d’emménager avec ses parents. Amnésique, visiblement porteur d’un passé trouble, il sera vite encouragé (pour ne pas dire poussé) par ses parents à sortir pour se faire des amis. Quelques péripéties sans grande importance plus tard, il fera la rencontre de Cartman et se retrouvera embarqué dans ce conflit joyeusement débile et qui a pour terrain la ville entière. C’est à ce moment que le jeu nous invite à embrasser une des quatre classes disponibles, à savoir Guerrier, Mage, Voleur ou… Juif ! Histoire de mettre toutes les chances de notre côté, c’est naturellement vers cette dernière que nous nous sommes tournés.

    Mario & Luigi à la sauce South Park

    Armés d’un bâton de berger, nous avons alors enfin pu découvrir le système de combat du jeu. Pour vous la faire courte, celui-ci ressemble à s’y méprendre à ce que l’on pourrait croiser dans un RPG Mario & Luigi. Bien que soumis à la règle du tour par tour, les joutes demanderont en effet un minimum d’attention et d’implication de la part du joueur. Que ce soit pour multiplier les coups infligés ou au contraire minimiser les dégâts reçus, il faudra se montrer précis et appuyer sur une touche dans le bon tempo. Ce dernier, particulièrement serré, pourra possiblement rendre le jeu un poil difficile. Et c’est d’autant plus vrai qu’il faudra, en plus de ça, prendre soin d’adapter ses attaques à la posture ennemie. Il faudra par exemple asséner deux coups lors d’un même assaut pour briser la garde d’adversaire ou encore passer par des attaques à distance (en usant d’un arc, par exemple) pour éviter de se faire contrer bêtement si celui-ci est en mode « riposte ». A défaut de se montrer original, le système nous est apparu suffisamment solide pour supporter une aventure s’étalant sur quelques dizaines d’heures. En effet, comme dans la plupart des jeux du genre, il faudra compter sur des points de compétence à redistribuer et sur un système d’aptitudes passives pour donner davantage de profondeur au tout.

    Scénarios et gameplay

    Evidemment, l’enrobage dont bénéficie le jeu n’est pas en reste. Que ce soit en termes de ton, d’écriture ou de respect du matériau d’origine, le RPG d’Obsidian Entertainment et d’Ubisoft se montre tout à fait irréprochable. Sa réalisation particulièrement soignée donne même l’illusion d’être face à un épisode de la série, à ceci près que les doublages sont intégralement en anglais. Les vannes et les références fusent avec un naturel déconcertant, si bien que les initiés se sentiront un peu comme à la maison. Les roux, la vulgarité (Cartman qui baptise notre avatar « Connard », malgré notre désapprobation), le second degré, l’humour très noir (le Pouvoir du Diabète !), tout y est. Les développeurs, certainement bien aidés par Trey Parker et Matt Stone, sont parfaitement parvenus à capter l’esprit de la série pour ensuite le restituer. Avec des attaques spéciales (ou héroïques, comme elles sont appelées ici) et des aptitudes qui ont des noms aussi inspirés que Lance-pierres de David, Juif-Jitsu ou Violence Légitime, le jeu n’a pas manqué de nous arracher quelques sourires. Puisque c’est dans sa capacité à faire rire et à surprendre les joueurs que réside une grande partie de son intérêt, on peut légitimement se demander si South Park : Le Bâton de la Vérité arrivera à conserver un tel degré d’humour sur toute sa durée, si cette première heure ne nous a pas été présentée en trompe-l’œil. Mais une chose est sûre, on a sacrément envie d’y croire.

    Verdict définitif dans quelques semaines, la sortie du jeu étant fixée pour de bon au 6 juillet prochain.

  • TEST PC de Starcraft II - Wings of Liberty

     Starcraft II , 12 ans se sont écoulés depuis la sortie de son grand frère. Douze années de matchs sur battle.net, d'e-sports frénétique, on ne compte plus les marines qui se sont fait dessouder par des joueurs sous amphétamines cliquant plus vite qu'un batteur de métal tapant sur sa double pédale. Starcraft s'est imposé comme une référence ultime du jeu de stratégie temps réel, sport national en Corée, représenté de manière inconditionnelle dans presque tous les grands tournois, il avait tout pour lui. Mais Starcraft II est arrivé, comment va-t-il réussir à détrôner son grand frère en haut de l'échelle ?

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    Design et gameplay  de Star Craft

    Tout d'abord, parlons graphismes. Sans être une référence sur PC, le nouveau moteur graphique sait allier finition et performances. Vous n'avez pas une machine de guerre sortie tout droit des entrailles d'un vendeur de hardware fou ? Pas de soucis, Blizzard a pensé aux petites comme aux grosses. Il savait que ce n'est pas la taille qui compte, et a donc encore réussis le tour de force de faire un jeu pour une gamme de machines très large. Un lifting pour les unités, des nouvelles animations et décors... Le topo habituel quoi ! Nul besoin d'épiloguer...


    La jouabilité, par contre, est toujours autant au top. Starcraft est et reste une référence de jouabilité équilibrée mais différente suivant les races. On rappelle rapidement qu'il y a les Terrans ( Les gentils humains armés jusqu'aux dents... ), les Protoss ( Les extra-terrestres à la technologie super évoluée ) et les Zerg ( Les insectes avec de grosses dents à la Wolverine ou  Rayman Origins... ). Chacun possède un design à eux et une jouabilité propre. Par exemple les Terrans construisent leurs bàtiments avec des ouvriers, forment leurs troupes à l'ancienne, et sont tout plein de gros fusils. Les Protoss " invoquent " leurs bàtiments, mais ils nécessitent des pilonnes d'énergie pour fonctionner... Et leurs troupes sont invoquées de la même manière via différents portails suivant le type d'unité. Quand aux Zergs, tout simplement, ils mutent... Leurs ouvriers vont se transformer en bàtiments, qui doivent se construire sur une belle étendue gluante très Alien. Rien n'a changé par rapport à Starcraft ok, mais je le rappelais juste pour ceux qui sont restés dans un bunker ces 15 dernières années. On notera l'apparition de petites nouveautés sur les unités, mais Blizzard est resté très frileux concernant de gros changements. Les unités n'ont presque pas changées, quelques unes ont disparus mais ont été remplacées par des équivalents presque pareils... Il y a eu des équilibrages ok, et on me souffle que dans la campagne, il y a beaucoup plus d'unités qu'en multi. Ouais ouais, mais faut quand même pas se voiler la face, le jeu a beau être toujours aussi grandiose, les nouveautés de jouabilité sont rares. En revanche, la Campagne solo a subis de très gros changements. Exit l'enchainement de missions bête et méchants. Vous voilà propulsé dans une campagne 2.0, avec des interactions avec des personnages, des choix de recherche ou d'améliorations d'unités... Oui là les changements sont palpables, et très bons ! Même dans les missions de la campagne, si le début sent le réchauffé, rapidement vous allez vous retrouver avec des missions fort sympathiques, comme celle où vous êtes sur une planète volcanique avec la lave qui monte de manière régulière et menace vos troupes restées trop bas...

    Scénario et modes de jeu

    Une petite parenthèse sur l'histoire, le jeu commence peu de temps après la campagne de Broodwar, et on retrouve les principaux protagonistes de Starcraft. Ne voulant rien révéler de l'intrigue, je ne vais pas m'étendre sur le sujet, juste vous dire que l'histoire est assez prenante, et que l'on peut s'attendre à quelques sorties autour du jeux, comics ou BD.


    Impossible de parler de Starcraft sans parler Multi-joueurs, si la Campagne Solo a été largement améliorée, on sent comme un vent glacial niveau changements dans le multi. On passera sur le nouveau battle.net et les hauts faits, qui ne sont là que pour se la péter ( Ouais c'est chouette ! ), le multi-joueurs n'a vraiment pas beaucoup changé. Mais Blizzard ne pouvait pas se permettre de chambouler une telle recette, où les joueurs leurs auraient déclarés une guerre atroce ! Non, Blizzard l'a joué soft, effectué de légers changements, toujours après avoir consulté longuement la communauté de joueurs, effectué de nombreux tests... Bref, en multi, nous avons un jeu équilibré aux petits oignons, et on peut leur faire confiance pour ça.


    Conclusion

    Starcraft II comme on s'y attendait, est un must have de l'année 2010. Vous êtes plutôt joueur occasionnel ? Quelle chance ! Vous avez une campagne Solo prenante, longue et équilibrée ! Vous pourrez même faire du multi-joueurs car une fois les matchs de placement passés, vous vous retrouverez dans une ligue de joueurs qui seront majoritairement de votre niveau, cela vous évitera d'être écoeuré du multi en 2 heures parce que vous êtes tombés sur LiquidTLO 3 fois d'affilé.vous êtes un dur, un acharné ? Quelle puissance ! Vous êtes de ceux qui ne s'arrêteront pas avant d'avoir atteint la ligue Diamant ( Sans jeu de mots sur les Pokémons ), alors vous aurez une campagne avec un niveau de difficulté Brutal qui mettra vos reflexes et vos stratégies à dure épreuve, et des joueurs sur le net qui seront toujours là pour vous rappeler que votre place est en ligue argent, et que votre passage en ligue or n'était qu'une erreur lamentable...

  • Fin du test d'Heavy rain

    Nous avons malgré tout constaté quelques bugs assez flippants dans notre version d'Heavy Rain : téléportation de certains personnages (à la manière d’un MMO qui lag ), NPC qui passent au travers de certains meubles, ou encore au travers d’autres NPC, etc… Cependant, une mise à jour assez conséquente (plus de 200mo) étant sortie à peine 2-3 jours après que nous ayons reçu le jeu, et donc avant même sa sortie, il est fort probable que les bugs les plus flagrants aient été corrigés.

    De toute façon, ne crachons pas sur la soupe, car les quelques heures qu’ont duré l’aventure (durée largement renouvelable si je désire voir les nombreuses autres fin proposées, chose que je souhaite bien évidemment !) m’ont offert une expérience visuelle oscillant entre le très agréable et le bluffant. Et même si l’équipe de Quantic Dream n’a pas fait beaucoup de progrès quant aux textures des véhicules depuis Fahrenheit (fallait que je la place celle-là, excusez-moi :p), il serait franchement mal venu de critiquer un tel travail !

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    Manette en main

    Côté gameplay, la prise en main est immédiate, même si elle n’est pas toujours plaisante. On avance en maintenant le bouton R2 enfoncé, et le personnage se déplace dans la direction vers laquelle est tournée sa tête (ça lui évite de se manger un poteau !), orientable avec le joystick gauche. Dit comme ceci, cela paraît simple, mais les changements incessants de caméra (qui permettent une meilleure visibilité de l’action et sont donc généralement les bienvenus !) font qu’on se retrouve parfois à changer brusquement et involontairement de direction. Etrangement, dans ces moments-là, le personnage alors incarné est assez peu réactif aux demandes d’arrêt ou de changement de direction, ce qui, lorsqu’on est pressé ou proche de la mort, peut s’avérer très énervant. Néanmoins, cette jouabilité parfois hasardeuse reste facilement domptable, et elle a le mérite de laisser les autres doigts et contrôles libres en cas d’apparition soudaine d’une phase de QTE (Quick Time Event).

    Dans Heavy Rain, ces QTE s’appellent en fait des MPAR (Motion Physical Action Reaction). La distinction vient du fait que les actions d’Heavy Rain revêtent plusieurs formes et n’apparaissent pas uniquement dans des cinématiques (qui d’ailleurs n’existent même pas dans ce jeu). Ainsi, les actions simples, comme ouvrir un tiroir, une porte, ou prendre un objet, demandent simplement de tourner le joystick droit dans la bonne direction, et ce plus ou moins vite, selon qu’il faille être discret ou non. D’autres actions, comme celles qui demandent de l’équilibre, ou de prendre du recul en vue d’effectuer un saut, nécessitent d’appuyer à tour de rôle sur différents boutons en gardant le doigt appuyé dessus tant qu’ils restent affichés à l’écran. A contrario, résister à une tentative d’étranglement, ou recourir à sa force physique, demande en revanche d’appuyer plusieurs fois, et ce rapidement, sur une même touche. Enfin, on trouve également des QTE classiques, c’est-à-dire l’appui bref et en réflexe sur les boutons qui s’affichent à l’écran, notamment et principalement lors des combats ou pour esquiver certains obstacles (on retrouve bien là la patte Fahrenheit !). Les MPAR sont donc au centre de l’action, mais leur diversité et leur intégration réussie et non abusive font qu’on n’a nullement l’impression d’assister à une suite de QTE. Au contraire, il est plus intéressant, pour effectuer une action, d’avoir à reproduire le mouvement avec le joystick droit, que d’appuyer toujours bêtement sur « croix ».

    Sortez le béret et la baguette

    Finalement, la seule critique qu’on peut vraiment faire à Heavy Rain, c’est d’être français. Je ne sais pas quelle est cette sale manie dans les films/feuilletons français de toujours placer quelques scènes de nu et/ou de cul et de nous sortir des rebondissements irréalistes à deux balles, mais Heavy Rain n’échappe malheureusement pas à cette règle idiote. Parmi les choix scénaristiques douteux (qui sont, fort heureusement, finalement peu nombreux), l’identité du tueur est très certainement celui qui m’a paru le plus invraisemblable. Mais je n’en dirais pas plus afin de ne rien spoiler, je risquerais de me faire lyncher et je n’y tiens pas franchement Quoi qu’il en soit, Heavy Rain rate de peu le coche, s’écrasant comme un soufflé dans les dernières minutes.

    Fahrenheit m’avait déçue en sombrant soudainement dans une inspiration « Matrixienne » non dissimulée et mal venue, et Heavy Rain, bien qu’il résiste plus longtemps et conserve son univers et son ambiance du début à la fin, le suit malheureusement sur le même chemin, en cédant à la facilité. Heavy Rain, tout du long, nous soumet à l’exercice du profiling et de la recherche de preuves. Mais ses dernières minutes remettent en cause tout notre apprentissage. Rien ne colle, le profil ne correspond pas, … Voilà qui est bien dommage !

    Conclusion

    Il ne faut cependant pas s’arrêter à mon dernier paragraphe. Certes, le scénario n’a pas réussi à me convaincre jusqu’au bout, mais l’expérience de jeu en elle-même est unique, prenante, et même parfois bouleversante. On notera également une bande son superbe, en particulier le thème principal, tout simplement magnifique. Bref, une expérience à ne surtout pas manquer, et à vivre au moins une fois pour savoir ce que l’industrie du jeu vidéo a encore à apporter de nouveau.

  • Test du jeu Heavy Rain

    Ayant eu la chance de recevoir à l’avance la version presse de Heavy Rain lors de son avant-première à Paris, nous avions décidé, avec Aza, que ce test sortirait également avant la sortie officielle du jeu (c’est à dire demain). Cette bonne résolution commençait bien, puisqu’en à peine 3 soirées (dont une seule réellement intensive), j’avais fini le jeu une première fois. Le planning était donc le suivant : dimanche, compte-rendu de l’avant-première, lundi, test !

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    Heavy Rain, un jeu à part

    Comme vous devez finir par le savoir, Heavy Rain, c’est donc le dernier né du studio Quantic Dream, studio à qui l’on doit Dark Souls  (auquel je n’ai jamais joué, honte sur moi) et Fahrenheit (un jeu qui m’a marquée à vie et que je ne saurais trop vous conseiller !). A l’instar de ces deux œuvres, Heavy Rain est donc très particulier, loin des habituels jeux d’action testostéronés aux scénarios si profonds que même les gosses de 5 ans qui regardent leur papa jouer peuvent le comprendre. Non, le dernier né de Quantic Dream est bien plus subtile que cela, et même si combats et gunfights il y a, sa vraie violence réside dans son ambiance sombre et oppressante, ses quelques scènes de torture morale et physique à la Saw, et surtout, sur le malaise et le stress que procurent certains passages. Un -16 mérité, obtenu dans la finesse d’un scénario globalement bien ficelé, et qui contraste avec les autres jeux de la catégorie.

    Souvent présenté comme un film interactif, Heavy Rain mise donc tous ses jetons sur son ambiance, son scénario, sa mise en scène, et les choix qu’il propose. Ainsi, chaque action que vous effectuerez, chaque réponse que vous donnerez à l’un ou l’autre personnage, sera susceptible d’avoir un impact majeur sur la suite du scénario. Il est donc en particulier possible de faire mourir ses personnages en cas de mauvaises décisions, sans pour autant que l’histoire ne s’arrête là. Pas de Game Over dans Heavy Rain, il vous faudra donc assumer chacun de vos choix, en subir les conséquences, et continuer votre enquête malgré tout. D’autant plus qu’il est impossible de sauvegarder manuellement : c’est donc au rythme de sauvegardes automatiques (fréquentes) qu’il vous faudra naviguer, que leur exécution vous arrange ou non.

    Cependant, avec pas moins de 4 personnages jouables (et d’autres non jouables, mais qui leur prêtent main forte), la marge de manoeuvre reste tout de même large, et il est quand même assez difficile, à moins d’être manchot ou très mauvais négociateur, de tous les faire mourir sans le faire exprès =D Le premier qu’il nous est possible de contrôler se nomme Ethan Mars. Père de deux enfants, sa vie bascule le jour où le plus âgé des deux meurt dans un accident. Ethan y survit miraculeusement, mais il souffre d’inquiétants troubles psychologiques, accentués par son sentiment de culpabilité. Lorsque son second fils, Shaun, est enlevé par le tueur aux origamis, un tueur en série qui s’en prend à de jeunes garçons, Ethan se jette dans une course contre la montre pour le retrouver. Scott Shelby est quant à lui un détective privé, mandaté par la famille des victimes pour enquêter sur ce tueur. Norman Jayden est un agent du FBI un brin toxicomane, envoyé en renfort pour aider la police à traquer ce dernier. Il dispose pour cela d’une technologie très avancée : ARI (Added Reality Interface), une paire de lunettes qui lui permet d’analyser l’environnement à la recherche d’indices, puis de les afficher devant lui afin de les analyser. Enfin, Madison Paige est une journaliste, toujours à l’affut du scoop qui fera décoller sa carrière. Sa rencontre avec Ethan va également la mettre sur les traces du tueur.

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    Une réalisation à la hauteur du film

    Tous ces personnages sont jouables à tour de rôle. A chaque changement, un écran de chargement nous permet d’admirer la modélisation quasi-parfaite du visage de celui qu’on va ensuite incarner. Je vous en parlais déjà lors de mon compte-rendu de l’avant-première, mais je tiens à le redire encore : l’équipe de Quantic Dream a réalisé un travail titanesque sur la modélisation et les mouvements des personnages ! Même si tout n’est pas parfait (il leur arrive notamment parfois de faire d’horribles grimaces), globalement, on atteint un niveau que je n’avais personnellement encore jamais vu dans un jeu vidéo ! C’est certainement également en partie à cause de (ou grâce à ?) cela qu’Heavy Rain est souvent considéré comme un film interactif. Car on atteint, au niveau des graphismes, un niveau de réalisme assez saisissant, y compris pour ce qui est des environnements.

  • Les news de janvier de FIFA 19

    Cela fait maintenant 4 mois que le jeu FIFA 19 est sorti et les gamers ont pu se l'approprier pour voir ce qui marche et ce qui ne convient pas : on se plaint toujours que techniquement il n'y a aucune amélioration depuis fifa 17, que c'est toujours une machine à argent pour l'éditeur EA sport etc. pourtant tout le monde y joue ou presque !

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    Voici une petite revue de news au tour de FIFA 19 :

    • annoncé depuis 2007 un mode scénario pour FIFA
    • Fifa ultimate toujours boudé en italie ou le jeu Calcio fanta est au top depuis 10 ans
    • EL journal Le Monde consacre un dossier au phénomène FIFA devenu plus qu'un jeu mais une "centralité fifa"
    • pour preuve, le e-sport , voit toujours plus de club de foot, rugby, basket avoir leur propre banières de gamers : ici le stade Rennais

     

    D'autres informations sur FIFA ultimate dans les prochaines semaines

     

     

     

     

  • Faites le plein de jeux pas chers avant Noël (PC)

    Peut-être que les Pères Noël tombent des cheminées. Ca, je ne sais pas. Ce que je sais c'est que les jeux, eux, ne tombent pas des sapins (de Noël). Pour le prix d'une nouveauté, on peut manger une semaine (pas du foie gras et des huitres mais tout de même)... La solution, c'est l'occasion, le bon plan sur internet, les collections "gold" et autres... Bref, pour préserver son porte-monnaie, jetez-vous sur les vieux hits des années précédentes. Car quand, c'est bon, peu importe que ça ne soit pas tout nouveau. Après la PS3 et la XBox360, voilà quelques idées PC à mettre aux pieds du sapin. Sans avoir à se ruiner.

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    Pour PC :

    Votre truc, c'est les mouvements d'armées, les soldats alignés par centaines ? Optez pour la gamme des Total War qui revisite toutes les grandes périodes de l'histoire. En attendant la sortie du prochain opus, Napoléon, en février prochain, on dégotte Total War : Rome pour 10 € (tous les prix indiqués correspondent à des jeux neufs achetés sur internet) ou encore Total War : Médiéval II pour 20 €. Si vous aimez jouer les généraux pilotant des masses de combattants, vous pouvez aussi vous rabattre sur la série des Star ocean à moins de 20 € le jeu. Si vous préférez oeuvrer dans un monde futuriste (avec des monstres en prime), il reste Dawn of War II.

    Changement d'ambiance. Dans Sim 2 (20 €), vous incarnez qui vous voulez dans un monde virtuel. Cette simulation de vie a conquis des millions de gens à travers le monde. Pour ceux qui aiment construire, gérer, édifier, n'oubions pas les Colonization (le numéro IV est à 20 €) ou encore les Sim City (moins de 10€ les titres anciens) 

    Les amateurs de FPS (où on tire et zigouille tout ce qui bouge avec une vue à la première personne) trouveront de quoi s'occuper. Avec Far Cry 2 (14€), on visite et on tente de survivre en Afrique. Crysis (14€) est tout simplement beau. Dans Halo 4 (15€), la chasse aux aliens est déclarée. Ambiance seconde guerre mondiale avec les premiers Call of Duty (le numéro 2 se trouve à 20 €). Sans oublier le ludique Unreal Tournament III (15€) très plaisant quand on joue à plusieurs et les uns contre les autres... 

    On peut encore mener l'aventure grâce au flippant Dragon Quest (17€) ou à l'onirique Fable (13€)... Cynique ? Vous pouvez encore jouer les mafieux dans une mégalopole avec Grand Theft Auto IV (18€) ou les assassins dans un monde médiéval avec le premier volet d'Assassin's Creed (16€)...

  • Avis sur le jeu Bomberman

    Bomberman a toujours eu du succès parmi les joueurs de toutes les plateformes, que se soit sur Snes, Megadrive ou encore PC... alors pourquoi pas sur N-Gage ? Eh bien non...ce n’était pas une si bonne idée, voyons pourquoi :

     

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    Présenté tout d’abord comme un jeu 3D, les fans du poseur de bombes le plus célèbre de la planète pouvaient se frotter les mains et attendre patiemment sa sortie. Malheureusement, les premières images diffusées officiellement ne montraient que des tableaux 2D qui choquaient par leur vide et leur non-originalité.

    Une fois sorti, le jeu n’a pas du tout changé et reste vraiment à la limite de la qualité Game Boy Color. À part les beaux coloris à l’écran, le jeu n’est donc pas très beau et méritait une plus grande attention sur ce point.

    Mais, va-t-on me dire, dans Bomberman ce n’est pas la beauté qui compte, non non, c’est l’amusement, le plaisir de poser des bombes et tuer les ennemis à l’écran. Une fois de plus, une grosse déception nous attend...allez, courage !


    Le mode un joueur le plus barbant du monde...


    D’entrée, deux modes s’offrent à vous ; le premier est bien entendu le mode aventure permettant de se défouler tout seul et qui ne présente pas de points particuliers. On peut même dire qu’il possède une linéarité hors du commun, et pour cause, le scénario du jeu s’inspire des plus grands films de Spielberg : La statuette en or de votre village a été volée, partez la retrouver ! (nd Frakyfun : on a pas du voir les mêmes films de Spielberg...^^).

    Bon passons encore...le scénario c’est comme les graphismes, on en a pas vraiment besoin pour poser des bombes, ce ne serait qu’un plus au jeu.

    On s’attend donc à un jeu délirant et irrésistible, mais l’aventure qui vous attend est bien au contraire longue et fastidieuse. Rien qu’en niveau « normal » le personnage meurt souvent et on en a rapidement marre. La raison principale est la « nullité » de votre personnage sans les bonus. Il avance trop lentement et pose des bombes qui ne font presque aucun dégât. De plus, la jouabilité est peu précise et il vous arrivera souvent de poser des bombes là où vous ne le voulez pas.