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GAME OF LIFE - Page 2

  • Killzone 3 – le test ! fin

    Niveau gameplay, Killzone 3 garde son style à lui avec ses déplacements particuliers et la sensation de vitesse quand on court, ça pourrait presque faire penser à un Gears of War. On a aussi le droit à des animations au corps à corps plutôt jouissifs ! Petite nouveauté, maintenant tout en courant il vous suffit de faire une pression sur la touche L2 pour faire une glissade et aller directement vous mettre à couvert, pratique pour passer d’un abris à un autre. Par contre là aussi un bémol, on ne retrouve pas cette « capacité » dans le mode multijoueur, ce que personnellement je ne comprend pas car quand on est à couvert ça ne veut pas dire qu’on est invincible. C’est vraiment dommage .

     

    killzone 3.JPGPour ce qui est de la durée de vie il m’a fallu 7-8h pour en venir à bout en mode difficile, ce qui n’est pas très long mais bon au vu des jeux qui sortent (surtout les fps) on a l’habitude, pas forcément une bonne habitude mais on l’a quand même. Par contre ne comptez pas sur les trophées/succès pour rallonger la durée de vie car ils sont relativement facile et il ne vous faudra pas beaucoup de temps pour en venir à bout. Par contre on peut compter sur le multijoueur…

    Un multijoueur au top ?

    Et bien je suis plutôt partagé, d’un côté on a le droit à de grande cartes variées plutôt bien réalisées mais bon comme dit plus haut on ne peux pas faire de glissade et se mettre à couvert, ce qui est vraiment dommage après avoir passé tout le mode solo à en faire. Le système de classe est plutôt bien pensé, avec une classe médecin, infiltrateur, tireur d’élite, etc… Chacun à ses propriétés comme se camoufler, soigner, se faire passer pour l’ennemi. Il y a un système de points de déblocage, qu’on obtient en prenant de l’expérience, qui permet de débloquer de nouvelles armes ou des améliorations de capacité. Mais finalement je trouve qu’il n’y a pas beaucoup d’armes différents, il y en a 3 par classe (sans compter les armes secondaires) et il y en a certaines qu’on retrouvent dans des classes différentes. Quand on joue tout seul ça se passe relativement bien, par contre dès qu’on veut créer un groupe pour jouer à plusieurs, là ça se complique : déconnexion d’un ou plusieurs membres en cours de partie, difficulté pour créer le groupe. j’espère que ces petits problèmes seront vite corrigés.

    Pour ce qui est des modes de jeu

    là aussi je trouve ça léger, il n’y a que 3 modes, mais qui ont le mérite d’être tous les 3 intéressants à jouer. Il y a tout d’abord le classique mode Match à Mort, où le but est assez simple : tuer le plus d’ennemi possible. Le deuxième mode c’est Zone de Guerre, la partie enchaînes plusieurs objectifs (massacre, assassinat, capture et contrôle, recherche et récupération et enfin recherche et destruction), surement le mode que je préfère car il permet de faire des partie assez longue, et il permet aussi de jouer plus en équipe pour arriver à faire les objectifs. Le dernier mode qui est nouveau, il s’agit du mode Opérations, ici une équipe est en défense et l’autre en attaque, là encore un objectif à atteindre, qui cette fois permettra de débloquer un peu plus la map pour avoir accès au prochain objectif, le tout est ponctué de cinématiques où sont mis en scènes les meilleurs joueurs, faire un coup de crosse à un amis ça n’a pas de prix.

  • Killzone 3 – le test !

    Killzone 3 c’est LE fps et la grosse exclusivité Sony de ce début d’année. Deux ans après Killzone 2, les petits gars de chez Guerrilla reviennent donc avec ce nouvel épisode. Compatible 3d et Playstation Move dont un fusil Sharp Shooter a été spécialement crée pour, le jeu est une sorte de vitrine pour les différents accessoires de la firme. Mais Killzone 3 c’est surtout un fps nerveux, et c’est aussi le moyen de dézinguer du Hellghast . Alors ce jeu vaut-il le détour? Réponse dans ce test…

    Il faut partir de la planète Hellghan !

    Et oui ici on prend place directement après les évènements du second opus, donc pour rappel voici ce qui c’est passé dans le précèdent opus : les troupes de l’ISA sont envoyé sur la planete Helghan pour en venir à bout de ceux qui ont voulu terrasser la Terre : les hellgasts, et surtout l’Autarque Scolar Viscari. Les ordres étaient de récupérer Viscari vivant, mais Rico Velasquez voit les choses différemment et désobéit aux ordres en le tuant. Killzone 3 prend donc place juste après cet évènement, vous contrôlez Thomas Sevchencko, ou tout simplement « Sev », et vous allez devoir faire ce qu’il faut pour s’enfuir de cette planète, et si vous pouvait dézinguer quelques Hellgasts durant cette fuite ce n’est pas de refus.  

    Le scénario n’est en rien extraordinaire, assez plat et très prévisible, mais il y a quand même de nombreuses cut-scènes (je pense notamment à la scène où un hellgast se prend un harpon dans la tête, jouissif) qui viennent renforcer l’ambiance et rendre le tout plutôt bien réalisé. Et le final est aussi intéressant car vraiment différent de ce qu’on a l’habitude de voir dans les fps, comprenez par là que vous ne finissais pas avec le fusil dans les mains.

    Cet épisode c’est aussi l’occasion de conduire plusieurs véhicules comme l’exo-skelette, le jet-pack et bien d’autres encore. Et tout ça dans des décors qui sont vraiment bien réalisé et vraiment beau. On passe d’un univers enneigé à une jungle hostile, puis à des bâtiments. Le tout est vraiment bien réalisé et il m’est arrivé de m’arrêter juste pour profiter de ces décors. Pour rester dans ce qui est les graphismes, personnelement j’adore le look des Hellgasts, et puis avec les yeux rouges ça permet de bien les repérer. J’ai aussi était bluffé par les armes du jeu, elle sont vraiment bien réalisé, chaque détails fourmilles et les textures sont elles aussi au top. Bon par contre petit bémol sur le bruit des armes qui est plutôt bizarre, je ne serais pas vraiment dire quoi mais il y a quelque chose qui me gène, peut être trop aiguë.

    Niveau bande son, j’ai plutôt bien apprécié les différents thèmes mais hélas je trouve qu’ils passent un peu trop inaperçu par rapport aux reste des bruitages (même si bien sur c’est réglable  ). Le doublage français est plutôt bon, et comme durant l’histoire on est pratiquement tous le temps au minimum 2 et bien cela donne droit à de bonnes répliques ! Bon de temps en temps il y a quelques bugs, comme par exemple une phrase qui est répété 5 ou 6 fois d’affilé, mais bon c’est plutôt rare, ça a dû m’arriver 5 ou 6 fois durant le mode solo.

  • Avis sur GTA IV

    gta.JPGJe serais pour ma part un petit peu plus critique que Kamoon sur ce jeu. Même si ce GTA reste un des meilleurs jeux auquel j’ai joué, et un des plus addictif, il coltine tout de même certains défauts difficilement négligeables pour un jeu de cette trempe. Mais commençons par ce qui fait le charme de cet opus : La narration. Voler des voitures, être libre tout ça, ok, c’est classique pour la franchise, mais une narration pareille ! L’histoire en elle-même est une histoire classique de truands, avec les traîtres, les amis, les rebondissements etc… Mais les cinématiques sont d’une qualité exemplaire, chacune est mise en scène avec le moteur du jeu, qui fait des merveilles, et les attitudes des personnages sont criantes de réalismes (les attitudes hein, pas les modèles 3D qui sont très bon mais pas impressionnant). Le tout porté par des acteurs en VO parfaitement crédibles. Bref du tout bon de ce niveau là.

    Ce GTA ce différencie grâce à deux grandes nouveautés : Le téléphone portable qui est la pierre angulaire du jeu, outil multifonction qui gère les amis, les contacts, les missions, le multi joueur, permet d’appeler des numéros non prédéfinis (911, un taxi) etc …On peut tout faire avec lui, et il se révèle très pratique d’utilisation. Autre nouveauté : la possibilité de se planquer derrière les éléments du décor pour canarder à la Gears Of War. Cette possibilité dynamise grandement les combats, même si elle les rend un peu plus lents… Ensuite les classiques du genre fonctionnent, la conduite est certes déroutante, mais pas autant que les suspensions en chamallow. M’enfin une fois passé tout ça c’est du GTA qui tâche. Mais alors pourquoi je lui vois des défauts ?

    Tout simplement car si on le compare au précédent opus, on ne peux que s’indigner face aux petits trucs qui ont disparus. Ainsi fini le fait de se muscler, ou de grossir. La personnalisation de Niko ne se fait qu’à travers les vêtements qui restent finalement très classiques (pas de masques par exemple). Exit aussi la possibilité d’acheter des bâtiments qui rapportent ensuite de l’argent. Enfin la déception se fait dans les armes qui sont extrêmement limitées, et très classiques elles aussi. Terminé le Katana, la tronçonneuse, le mini-gun etc… Et les minis jeux ajoutés n’amusent que le temps d’une partie (billard, bowling, fléchettes). Ces disparitions sont très frustrantes au final car ce qui fait la force d’un GTA, c’est bien sa possibilité de s’amuser sans même suivre l’histoire. Hors ici la mollesse du gameplay (voitures plus lentes, gunfights plus posés), la disparition des armes rigolotes, même le peu de variété des codes (qui était un des éléments les plus utilisés dans GTA SA pour changer de personnage, créer des émeutes etc…) en font un titre nettement plus sérieux, très peu parodique et au final moins délirant. On a gagné en graphisme ce qu’on a perdu en fun. Difficile de concevoir ça comme un simple oubli des développeurs, bien conscients du succès de ces petits détails dans SA, mais plutôt une volonté de faire migrer leur jeu uniquement provocateur dans la catégorie des jeux sérieux pour adultes, bien plus classes pour briller en société. Cependant on a l’impression que GTA a perdu une partie de son âme.

    Mais ne vous y trompez pas, il reste tout de même une référence du genre, le genre de titre qui justifie à lui seul l’achat d’une next-gen (j’en suis la preuve vivante). Mais maintenant que le nouveau moteur du jeu a été inauguré, que Rockstar a gagné ses lettres de noblesses en publiant son jeu « mature », espérons qu’ils oseront aller plus loin au prochain opus, qu’ils se lâchent enfin pour nous proposer la profondeur d’un SA enjolivé par ce moteur graphique digne de nos téléviseurs HD (n’est-ce pas Kamoon ?).

  • Test du jeu Requiem of Hell, suite

    Pour vous aider à gagner ces combats, vous trouverez de nombreuses armes et armures dissimulées un peu partout ayant chacune leur propres caractéristiques ainsi que de nombreux mets délicieux vous remontant votre barre de vie (poulet, pomme, jambe...attention c’était la votre !). Enfin votre personnage pourra aussi se défendre grâce à quelques sorts disponibles par l’intermédiaire de la fée et pourra les améliorer au fur et à mesure de leur utilisation. A propos de la fée, elle vous suivra pendant toute la durée de votre aventure et sera toujours derrière vos pas afin de vous aider et de vous guider dans vos actions. Ne la prenez pas à la légère...elle vous sera très utile vu la difficulté du jeu et surtout son côté « débrouillez-vous ». En effet les quêtes à accomplir ne sont pas réellement citées et apparaissent dans un ordre pas toujours logique (une quête du début que vous ne pouvez faire qu’à la fin par exemple). Cela vous perturbera sûrement et c’est pourquoi votre conscience (la fée bien entendue) sera souvent là pour vous aiguiller sur la bonne voie. De plus, elle pourra vous guérir en cas de blessure grave et elle vous apportera ses magies destructrices.


    Comme dans tout RPG votre personnage a des statistiques le concernant (Niveau, expérience, sorts, attaques...) : tout ceci est stocké dans l’inventaire avec les objets portés ainsi que leur explications détaillés. A noter que le défilement de ceux-ci est assez pénible vu sa lenteur.
    Pour finir avec les caractéristiques de RoH, sachez que les graphismes en 3D isométriques sont soignés et variés (malgré le thème persistant de « fin du monde ») et que l’ambiance sonore « renversante », comme dirait Nokia, est tout simplement parfaitement adaptée au charme gothique qui règne dans le soft. Du point de vue gameplay, les combats sont assez durs à manier car le personnage ne tape pas toujours le bon monstre (ou vise à côté) et il vous arrivera très souvent de mourir...sauvegardez souvent ! D’un autre côté de nombreux coups sont disponibles pour votre personnage et les armes élémentales créeront de nouvelles magies lors de vos attaques.

    Requiem of Hell, est-il finit ?

    On arrive à la partie qui permet de se poser des questions sur le jeu en lui-même... En effet, il est agréable à jouer et mérite une bonne note mais quelques détails se sont échappés et ont le mérite de décevoir énormément le joueur : Requiem of Hell parait ne pas être complètement fini et affiche quelques bugs qui ne devraient pas se présenter dans un jeu vendu.

    Tout d’abord les dialogues défilent souvent sans s’interrompre ce qui ne laisse pas toujours le temps de lire entièrement la phrase ; pire encore, si vous avez de la chance, vous pourrez trouver des bouts de textes non traduits et dans une langue étrangère ! Au niveau du jeu, les actions ne sont pas toujours coordonnées et un personnage peut demander quelque chose qui a déjà été réalisé mais qui devait être fait un peu plus tard (on doit donc suivre à la lettre les pensées du scénariste...). D’autres bugs sont présents mais on ne s’y attardera pas. A vous de les trouvez !

    Tout laisse donc à croire que le jeu a été terminé à la dernière minute et que les bêta-testeurs n’ont pas eu le temps de faire leurs rapports...

    Conclusion

    Malgré donc les quelques bugs qui sont présents dans le jeu, Requiem of Hell a la chance de venir en tant que « premier RPG » sur N-Gage car même s’il mérite un regard positif, on s’attend à quelque chose de meilleur sur notre console. Espérons qu’il serve d’exemple et de leçon aux prochains arrivants.


     

  • Test du jeu Requiem of Hell

    Fan de RPG réjouissez-vous : Requiem of Hell, d’ailleurs premier jeu du genre à sortir sur N-Gage ne vous laissera sûrement pas indifférent grâce à son ambiance d’horreur, son histoire terrifiante mais aussi grâce (ou plutôt malgré) à de quelques points négatifs qui rabaissent énormément le jeu pourtant si attirant...

     

    Si vous suivez un peu l’actualité des jeux sur mobiles, vous aurez sûrement remarqué que deux des meilleurs RPG disponibles sur le net proviennent de la même société : Digital Red. Apres Nightmare et Sango, Digired s’attaque désormais à un niveau supérieur en tant que console : notre N-Gage. Plus de capacité, plus de performance, les développeurs étaient donc capables de nous concocter notre Diablo à nous et le résultat est, en effet, assez sympathique.

    Tout d’abord RoH veut marquer l’attention et donner une impression d’un jeu fort en action grâce à une cinématique de toute beauté à l’allumage, d’un menu très original, superbe et complet, de graphismes très détaillés, d’une bande sonore gothique vous plongeant dans un univers sombre et mystérieux... Tant de point qui en font un RPG très réussi mais ce n’est qu’une façade cachant un problème assez mystérieux.

    Requiem of Hell : un scénario émouvant...

    Comme cité plus haut, Requiem of Hell est véritablement un Diablo-like, l’un des RPG le plus connu dans le domaine des jeux vidéo. L’ambiance sordide est la même, le personnage traverse des mondes obscurs en direction des enfers et rencontre sur son chemin monstres et amis en tout genre. Comme dans tout bon jeu de rôle, un scénario solide et concret doit être installé pour permettre au joueur de comprendre la situation et de la voir changer au cours de ses actions. Pour cela, une dizaine de minutes est nécessaire au début, rempli de papotages, d’action, et de choix décisifs.

    En gros, le monde va mal, très mal. Dalu, un démon de l’enfer, s’est libéré de ses chaînes et n’a qu’un seul but dans la vie : la mort. Se nourrissant de la haine des hommes par l’intermédiaire de l’arbre du dragon, il invoque des centaines de monstres tous plus hideux les uns que les autres et part à la conquête de la Terre et surtout à sa destruction.
    Des milliers de gens meurent ; enfants, femmes, hommes mais aussi malfrats, brigands et voleurs. C’est d’ailleurs l’un de ces derniers que vous êtes invités à choisir au commencement. Auparavant mort, une fée et son « père », dernier espoir du monde, vous ressuscitent et c’est ainsi que commence pour vous un long voyage en direction des entrailles de la Terre.

    Tout pour plaire

    Le monde que vous aurez à parcourir se compose de nombreux niveaux empilées les uns sur les autres vous amenant à chaque fois de plus en plus près de l’enfer. Chacun de ces niveaux renferme un mystère, une quête ou des objets uniques à trouver. Malheureusement, pour les accomplir, il vous faudra combattre car les cartes sont désormais infestées de monstres qui ne cherchent que de la viande fraîche à se mettre sous la dent (miam la belle jambe).

     

  • Avis sur le jeu : One Piece - Pirate Warriors - FIN

    Les développeurs ont tenté de casser cette routine en incluant des petites phases de plates-formes dans lesquelles il faut faire avancer Luffy en résolvant une sorte de puzzle pour trouver le bon chemin puis enchainer des sauts agrémentés de QTE. Ce n’est pas forcément utile à l’aventure mais ça a au moins le mérite d’éviter l’essoufflement du gameplay.

    On retrouvera aussi des QTE dans les affrontements contre les boss qu’il vous sera possible de zapper ou non, l’intérêt étant de grappiller quelques points qui pourront s’avérer très précieux.

    Voilà un enchainement parfait pour vous parler du petit côté Rpg de One Piece : Pirate Warriors. La douzaine de héros jouables peut en effet gagner en expérience et grimper de niveau pour faire progresser trois caractéristiques de base : Santé, Défense et Attaque. C’est aussi grâce à ces points qu’il sera possible d’étoffer sa palette de combos.

    Un autre système que j’ai trouvé intéressant est celui des pièces que l’on peut récolter à la fin d’un chapitre. Ces dernières peuvent être combinées et affectées à l’un de vos personnages améliorant de la sorte ses statistiques et lui apportant une compétence spéciale. Les vrais fans passeront à mon avis pas mal de temps afin de toutes les collectionner. Un bon point pour la durée de vie car il faudra recommencer plusieurs fois le même niveau pour tenter de tout débloquer et monter les capacités de son personnage au maximum.

    Visuellement, on se rapproche de l’anime avec un aspect mélangeant cel-shading  et 3D classique. Les graphismes et les couleurs sont simples mais collent parfaitement à l’univers. Un autre point positif est l’animation des combats qui est fluide et dynamique renforçant l’intensité des combats.

    Les puristes apprécieront certainement le fait d’avoir conservé les voix japonaises avec des sous-titres en français et ce pour plus d’immersion. Personnellement, j’ai adoré et pourtant je ne suis pas spécialement fan de la série.

    Avis final :

    Je recommanderais ce jeu à deux catégories de personnes : 1) les fans de l’anime/manga 2) les fans du genre beat’em all style Dynasty Warriors. Si vous faites partie de l’une d’elle, je ne peux que vous conseiller de prendre la mer avec One Piece : Pirate Warriors qui devrait vous satisfaire pleinement et ce malgré quelques défauts comme une certaine répétitivité et des stages cloisonnés.

    Pour les autres, c’est peut être une bonne occasion de vous intéresser à cet univers et de miser sur un jeu jubilatoire et fun à souhait et à la durée de vie plus que correcte.

     

  • Avis sur le jeu : One Piece - Pirate Warriors

    Après deux épisodes réussis sur Wii et leur adaptation mitigée sur 3DS, One Piece refait surface avec Pirate Warriors, un épisode exclusivement dédié à la Playstation 3. Le titre de Namco Bandai, spécialiste de l’adaptation de mangas en jeux vidéo, propose un jeu de combat sous forme de beat’em all. Pas étonnant quand on sait que c’est Tekmo koei, géniteur de la saga Dynasty Warriors, qui se cache derrière le titre. La saga One Piece ayant jusqu’à présent échappé aux désastres de l’adaptation vidéoludique, c’est donc en toute confiance que je me suis penché sur cette première apparition sur la console de Sony. Avais-je raison ? C’est ce que vous allez voir ci-dessous.

    One Piece, c’est tout d’abord un manga et un anime japonais au succès mondial mettant en scène Luffy, un jeune pirate ayant consommé le fruit du Démon qui eu pour effet de rendre son corps complètement élastique et étirable. Ayant pour objectif de devenir le Seigneur des Pirates et de mettre la main sur le trésor One Piece, Luffy constitue une équipe avec laquelle il sillonera l’océan l’amenant à rencontrer de nouveaux personnages qui tantôt se joindront à lui, tantôt lui barreront la route.

    Sauf erreur de ma part, cette oeuvre comprend actuellement 65 épisodes et le jeu en reprend les 60 premiers. Dans ces conditions, les développeurs ont du forcément faire des choix qui risque à mon avis de déplaire aux fans de la première heure. Comme il est difficile de détailler chaque manga, les développeurs sont allés à l’essentiel en reprenant les rencontres et passages les plus marquants.

    Pirate Warriors se résume à traverser plusieurs champs de bataille pour multiplier les combos contre des adversaires à l’I.A très faible avec de temps à autre un affrontement contre un boss un peu plus résistant.

    Il ne fait aucun doute que le choix du beat’em all pour cet épisode PS3 était la meilleure solution. Affronter une masse importante d’ennemis en tentant de multiplier les combos est un exercice qui me convient bien même si je trouve que l’I.A des ennemis est un peu à la ramasse. Il n’y a pas vraiment de difficulté, si ce n’est les combats contre les boss qui demandent un peu plus d’adresse ou parfois certains gradés qui sont un peu plus résistants.

    Le problème avec ce style de jeu, c’est que j’ai l’impression de faire sans cesse la même chose. On traverse une zone, on tente de survivre (et ce n’est pas bien compliqué) à quelques vagues d’ennemis avant d’affronter un boss. De plus, cette sensation est accentuée par le fait que l’on se sent à l’étroit dans ce jeu couloir au décors assez redondant.

     

    • Date de sortie : 21 septembre 2012

    • Développeur : Namco Bandai

    • Editeur : Tecmo Koei

    • Genre : Beat'em all

    • Support  : Playstation 3

    • Pegi : 12 ans et plus

    • Prix : 49.99 euros

  • Socom Special Force – Le test , suite

    Pour l’IA on voit aussi qu’un travail a était fait, mais pas assez j’ai envie de dire. Les ennemis essayent de nous contourner mais finalement ils ne font que ça, c’est tout le temps pareil et ça en devient relativement facile de les prendre à leurs propre jeu. Par contre, l’IA de vos coéquipiers est plutôt – comme le doublage français - anecdotique, à vrai dire personnellement je me servais de mes coéquipiers juste pour les faires avancer et débloquer les prochaines vagues d’ennemis.

    socom special force.JPGPour ce qui est de la gameplay, on se retrouve donc avec un jeu d’action se jouant à la troisième personne. Le jeu propose aussi de jouer avec le Ps Move, j’ai trouvé plus agréble ce genre de jeu qu’un Killzone 3 par exemple, mais bon ça n’empêche pas que je préfère jouer à la manette, surtout en multijoueur….

    Un multijoueur aux petits oignons

    Rajouté une campagne solo au jeu n’a en rien perturbé le travail sur le multijoueur, bien au contraire. On se retrouve donc avec un mode multijoueur très complet, on a tout d’abord un mode coop qui permet de jouer jusqu’à 5 en ligne. Ce ne sont que de petites missions, comme récupérer des renseignements, tuer quelqu’un, mais le fait de jouer avec de vraies personnes rendent ces missions plus intéressantes, même si on a vite fait le tour.

    Pour ce qui est du multijoueur on se retrouve avec quelques chose de banal, différents modes de jeu sont proposés, on gagne de l’expérience qui nous fait grimper les niveaux qui ensuite débloque de nouvelles armes, accessoires, etc…

    Les maps sont variés, et permettent d’accueillir 32 joueurs ! Bon par contre au départ vous risquez de prendre quelques roustes, personnellement il m’a fallu quelques parties avant de terminer avec un ratio positif, mais une fois les finesses du jeu acquise c’est là que l’expérience multijoueur commence

     

    Avec une réalisation plus qu’acceptable, Socom Special Force vaut clairement le détour. Par contre on passera sur le mode solo qui finalement n’apporte pas grand chose et nous laisse sur notre faim, heureusement le multijoueur est là et permet de prolonger l’expérience, aussi bien en coopération avec des amis ou en compétitif et ce jusqu’à 32 joueurs en ligne simultanément !

    Ma note : 13/20