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GAME OF LIFE - Page 2

  • Avis sur le jeu écologique : Opération Survie

    Opération Survie est un jeu très complet car il développe � la fois des aspects stratégiques, dynamiques et pédagogiques : un divertissement pédagogique qui enchantera les enfants � partir de 8 ans et les adultes. Un jeu très agréable � jouer, entièrement éco-conçu et en plus pédagogique. Qui dit mieux ?

    Caractéristiques du jeu opération survie :

    Type : jeu de société

    Age : A partir de 8 ans

    Nombre de joueurs : 2 à 5 (ou par équipes)

    Durée : 45 mn environ

    Prix indicatif : 19,95 euros

    Edition : Bioviva

     

    Opération survie révèle une grande richesse de jeu en mêlant habilement stratégie, rapidité, et dynamisme autour d’un jeu de questions-réponses qui n’a rien de traditionnel. C’est donc un jeu que nous conseillons car très complet et surtout divertissant.

    Tout d’abord, Opération Survie est un jeu stratégique : de la préparation du jeu où il convient de positionner des tuiles, qui vont représenter le plateau de jeu, le plus stratégiquement possible jusqu’aux différentes phases de jeu, telles que les déplacements des pions aventuriers, il convient d’anticiper les actions de ses adversaires et de réfléchir quelques coups en avance. Même son propre positionnement autour de la table de jeu est stratégique, car il vaut mieux être bien placé pour attraper les objets le plus rapidement possible…. Le plateau mouvant, composé de 25 tuiles, est une très bonne idée car il permet de renouveler chaque partie. Ce plateau se désintègre petit à petit au fur et à mesure des bonnes réponses des joueurs. Le but est notamment d’isoler l’un de ses adversaires afin de le contraindre à abandonner. Par ailleurs, le mouvement de son pion répond à des critères tactiques afin de remporter un maximum de points survie, en se positionnant sur des cartes à forte valeur tout en étant dans des zones peu fréquentées par les autres joueurs. Le jeu devient passionnant quand vous mélangez tous ces aspects et que vous essayez vous-même de ne pas vous faire isoler !

    C’est également un jeu très dynamique, car il y a des objets à aller chercher le plus rapidement possible tout au long de la partie, une pirogue, une pelle et un kit de secours : un joueur retourne une carte défi et vous devez courir pour aller attraper l’objet le plus rapidement. Il y a aussi des défis pour retrouver le plus vite possible des dessins de créatures extraordinaires et épeler leur nom un peu compliqué…. C’est très divertissant !

    Les fiches questions contiennent de nombreuses informations pédagogiques sous forme de questions commentées et parfois amusantes. Le sujet principal est la survie, mais les fiches contiennent de nombreuses questions afin de mieux connaître la nature.

    Le matériel est de bonne qualité graphique et agréable à manipuler.

    Comme tous les jeux de Bioviva, ce jeu est entièrement éco-conçu :

    • Impression avec des encres à base végétale,
    •   Impression sur du papier et du carton recyclables et recyclés,
    •   Pions en hêtre de forêt française labellisé PEFC,
    •   Imprimeur français respectant certains principes de fabrication.

    Ce que l’on peut reprocher à ce très bon jeu est uniquement que, à notre point de vue, les questions auraient mérité d’aborder plus directement des sujets touchant à la préservation de l’environnement.

  • Test de la PSP GO

    Enfin nouvelle , pas tant que ça au final , car si elle à bien une ou deux fonctions qui changent , c’est surtout un nouveau design qui fait la différence .

    Pour réaliser ce test  de la PSP , nous avons fait tourner les jeux Motorstorm Artic Edge , et God of War : Chain of Olympus .  Pour ceux qui auraient passé les derniers mois au fond d’une grotte , le premier est un jeu de course arcade , alors que le second est un jeu d’action / aventure .
    La première chose qui frappe quand on découvre la console c’est son lifting , avec son design spécifique à Sony  , cette nouvelle PSP GO fait très High Tech, un peu comme la Playstation Phone : Rumeur ou révolution ? .  À la manière d’un téléphone portable son écran est maintenant fixé sur un clapé coulissant afin de protéger les touches .  Malheureusement , l’écran quand à lui est toujours à la merci de rayures et autres usures .  La console est maintenant à peine un peu plus grosse qu’un téléphone portable et pèse 158 grammes . Autant dire que c’est vraiment léger , et qu’on ne la sent pas du tout . Le confort à ce niveau là est vraiment agréable , mais à quel prix ? Effectivement , elle est beaucoup plus légère , mais elle est aussi beaucoup plus petite . Et c’est là que le bas blesse .

    Tout le monde n’a pas de petits doigts , et , les mains un peu large pesteront sur la nouvelle dispositions des touches .  Si la croix directionnelle n’est pas trop gênante , le stick analogique quand à lui l’est devenue . Positionné maintenant à droite du pad directionnel  , les doigts les plus courts auront du mal  à s’étendre au maximum vers la droite . Dans la même lignée , les touches rond , croix , carré et triangle , ont-elles aussi été rétrécies , ce qui rend certaines manipulation un peu laborieuses . On a vite fait d’appuyer sur deux touches à la fois alors qu’on en visait qu’une seule . Les touches Start et Select , aussi font preuve d’un certain inconfort étant donné , qu’elle sont elles aussi plus petites mais également , étroitement rapprochées . Et presser l’une de ses touches en pleine action relève parfois du défi . La touche Home est maintenant placée à coté de l’écran  sur le clapé coulissant . Cependant n’allez pas croire que le PSP GO est injouable , bien au contraire . Certes elle offre un certain inconfort , mais reste suffisamment ergonomique dans l’ensemble .

    Les gâchettes L et R  n’ont toujours pas changées de places , elles sont néanmoins plus sensible , et c’est tant mieux étant donné que la console une fois ouverte gène d’elle-même l’accès aux gâchettes . Entendez par là que les doigts larges pesteront encore un peu .  Le pire dans la disposition des touches revient au contrôle du volume , au rétro éclairage ainsi qu’à la touche musique , toutes sont maintenant placées sur la tranche supérieure de la console et y accéder vous obligera à mètre le jeu en pause , voir pour certain à refermer le clapé le temps de faire votre manœuvre

  • avis sur Killzone 3

    Je ne vais pas parler de la 3d car je l’ai que trop peu testé, et durant un salon en plus donc ce n’était pas forcément les meilleurs conditions. Par contre j’ai voulu vous faire un paragraphe complet sur l’utilisation du Move car pour moi Killzone 3 est le premier jeu depuis la sortie de l’accessoire qui peut le rendre réellement utile. Il y aurait pus avoir Little Big Planet 2, mais seulement un mode bonus était disponible au Move, alors qu’ici c’est le jeu qui est totalement disponible au Move. Alors réussi ou pas ? Ça permet de prolonger la durée de vie ? Ça vaut l’achat d’un Ps Move ?

    killzone 3 jeu.JPG

    Alors déjà on commence par calibrer le Move et régler la sensibilité. Les commandes sont plutôt bien faite pour s’y retrouver rapidement. Un petit mouvement circulaire avec le Move permet de recharger et un mouvement vers le haut permet une attaque au corps à corps, attention à ne pas louper votre coup sinon vous vous retrouverais avec le viseur pointé vers le ciel et là les ennemis n’auront pas de problème pour vous tuer. C’est un peu ça le point noir, quand on fait la mission d’infiltration par exemple, les ennemis sont plutôt calme on arrive bien à les viser, mais dès que ça s’accélère un peu et qu’il y a plus d’ennemi à l’écran tout de suite ça devient compliqué et on a tendance à regarder le ciel ou trop sur les côtés et il y a qu’une seule mission d’infiltration dans le jeu. Il est aussi difficile de courir tout en dirigeant le personnage. A vrai dire j’ai fait le solo en mode difficile, mais pour tester le move j’ai dû descendre en normal pour arriver à faire quelque chose. A m’entendre je suis sur que vous pensez que je désapprouve le move pour ce jeu, et bien non quand même pas car avec un peu d’entraînement et de pratique tout ce que j’ai dit au dessus s’atténue mais bon on reste quand même moins rapide qu’avec un pad dans la main. Il est aussi possible de se servir du move dans le mode multijoueur, même si j’ai l’impression que la visée est plus assisté ça en devient compliqué car là encore on est moins rapide qu’avec un pad. Je n’ai pas testé le Sharp Shooter donc malheureusement je ne peux pas vous donner mon avis dessus, mais d’après ce que j’ai entendu ça renforce encore plus l’immersion.

    Alors ça vaut l’achat d’un Move? Moi personnellement je suis un habitué du pad alors jouer à un fps avec le Move, mais en tous cas on peut souligner le travail qui a été fait pour rendre le jeu accessible et jouable au Move , car je crois bien que c’est le premier jeu qui n’est pas exclusivement Move et qui pourtant propose de pouvoir jouer à tout les modes avec, ce n’est pas un simple mode bonus mais bel et bien une expérience de gameplay différente, après à vous de voir si ce jeu seul suffit pour acheter un Ps Move.

    C’est cool

    Une réalisation soigné
    Un gameplay au poil
    Un multijoueur intense…

    C’est moins cool

    … mais trop pauvre
    Solo plutôt court
    Mais pourquoi on ne peut pas faire de glissade en multi?

    Guerrilla signe ici avec Killzone 3 une excellente exclusivité pour la console de Sony. On a le droit à un fps explosif aussi bien en mode multijoueur qu’en mode solo. On regrettera quand même que le solo soit trop court et que le multijoueur soit un peu pauvre niveau contenu. On souligne l’effort pour rendre le jeu totalement compatible avec le Ps Move même si les gamers préféreront jouer avec leur manette. Mais ces quelques défauts ne vous empêcheront pas de passer un agréable moment devant ce Killzone 3. Rendez vous dans 2 ans pour Killzone 4?

    Ma note : 15/20

  • Killzone 3 – le test ! fin

    Niveau gameplay, Killzone 3 garde son style à lui avec ses déplacements particuliers et la sensation de vitesse quand on court, ça pourrait presque faire penser à un Gears of War. On a aussi le droit à des animations au corps à corps plutôt jouissifs ! Petite nouveauté, maintenant tout en courant il vous suffit de faire une pression sur la touche L2 pour faire une glissade et aller directement vous mettre à couvert, pratique pour passer d’un abris à un autre. Par contre là aussi un bémol, on ne retrouve pas cette « capacité » dans le mode multijoueur, ce que personnellement je ne comprend pas car quand on est à couvert ça ne veut pas dire qu’on est invincible. C’est vraiment dommage .

     

    killzone 3.JPGPour ce qui est de la durée de vie il m’a fallu 7-8h pour en venir à bout en mode difficile, ce qui n’est pas très long mais bon au vu des jeux qui sortent (surtout les fps) on a l’habitude, pas forcément une bonne habitude mais on l’a quand même. Par contre ne comptez pas sur les trophées/succès pour rallonger la durée de vie car ils sont relativement facile et il ne vous faudra pas beaucoup de temps pour en venir à bout. Par contre on peut compter sur le multijoueur…

    Un multijoueur au top ?

    Et bien je suis plutôt partagé, d’un côté on a le droit à de grande cartes variées plutôt bien réalisées mais bon comme dit plus haut on ne peux pas faire de glissade et se mettre à couvert, ce qui est vraiment dommage après avoir passé tout le mode solo à en faire. Le système de classe est plutôt bien pensé, avec une classe médecin, infiltrateur, tireur d’élite, etc… Chacun à ses propriétés comme se camoufler, soigner, se faire passer pour l’ennemi. Il y a un système de points de déblocage, qu’on obtient en prenant de l’expérience, qui permet de débloquer de nouvelles armes ou des améliorations de capacité. Mais finalement je trouve qu’il n’y a pas beaucoup d’armes différents, il y en a 3 par classe (sans compter les armes secondaires) et il y en a certaines qu’on retrouvent dans des classes différentes. Quand on joue tout seul ça se passe relativement bien, par contre dès qu’on veut créer un groupe pour jouer à plusieurs, là ça se complique : déconnexion d’un ou plusieurs membres en cours de partie, difficulté pour créer le groupe. j’espère que ces petits problèmes seront vite corrigés.

    Pour ce qui est des modes de jeu

    là aussi je trouve ça léger, il n’y a que 3 modes, mais qui ont le mérite d’être tous les 3 intéressants à jouer. Il y a tout d’abord le classique mode Match à Mort, où le but est assez simple : tuer le plus d’ennemi possible. Le deuxième mode c’est Zone de Guerre, la partie enchaînes plusieurs objectifs (massacre, assassinat, capture et contrôle, recherche et récupération et enfin recherche et destruction), surement le mode que je préfère car il permet de faire des partie assez longue, et il permet aussi de jouer plus en équipe pour arriver à faire les objectifs. Le dernier mode qui est nouveau, il s’agit du mode Opérations, ici une équipe est en défense et l’autre en attaque, là encore un objectif à atteindre, qui cette fois permettra de débloquer un peu plus la map pour avoir accès au prochain objectif, le tout est ponctué de cinématiques où sont mis en scènes les meilleurs joueurs, faire un coup de crosse à un amis ça n’a pas de prix.

  • Killzone 3 – le test !

    Killzone 3 c’est LE fps et la grosse exclusivité Sony de ce début d’année. Deux ans après Killzone 2, les petits gars de chez Guerrilla reviennent donc avec ce nouvel épisode. Compatible 3d et Playstation Move dont un fusil Sharp Shooter a été spécialement crée pour, le jeu est une sorte de vitrine pour les différents accessoires de la firme. Mais Killzone 3 c’est surtout un fps nerveux, et c’est aussi le moyen de dézinguer du Hellghast . Alors ce jeu vaut-il le détour? Réponse dans ce test…

    Il faut partir de la planète Hellghan !

    Et oui ici on prend place directement après les évènements du second opus, donc pour rappel voici ce qui c’est passé dans le précèdent opus : les troupes de l’ISA sont envoyé sur la planete Helghan pour en venir à bout de ceux qui ont voulu terrasser la Terre : les hellgasts, et surtout l’Autarque Scolar Viscari. Les ordres étaient de récupérer Viscari vivant, mais Rico Velasquez voit les choses différemment et désobéit aux ordres en le tuant. Killzone 3 prend donc place juste après cet évènement, vous contrôlez Thomas Sevchencko, ou tout simplement « Sev », et vous allez devoir faire ce qu’il faut pour s’enfuir de cette planète, et si vous pouvait dézinguer quelques Hellgasts durant cette fuite ce n’est pas de refus.  

    Le scénario n’est en rien extraordinaire, assez plat et très prévisible, mais il y a quand même de nombreuses cut-scènes (je pense notamment à la scène où un hellgast se prend un harpon dans la tête, jouissif) qui viennent renforcer l’ambiance et rendre le tout plutôt bien réalisé. Et le final est aussi intéressant car vraiment différent de ce qu’on a l’habitude de voir dans les fps, comprenez par là que vous ne finissais pas avec le fusil dans les mains.

    Cet épisode c’est aussi l’occasion de conduire plusieurs véhicules comme l’exo-skelette, le jet-pack et bien d’autres encore. Et tout ça dans des décors qui sont vraiment bien réalisé et vraiment beau. On passe d’un univers enneigé à une jungle hostile, puis à des bâtiments. Le tout est vraiment bien réalisé et il m’est arrivé de m’arrêter juste pour profiter de ces décors. Pour rester dans ce qui est les graphismes, personnelement j’adore le look des Hellgasts, et puis avec les yeux rouges ça permet de bien les repérer. J’ai aussi était bluffé par les armes du jeu, elle sont vraiment bien réalisé, chaque détails fourmilles et les textures sont elles aussi au top. Bon par contre petit bémol sur le bruit des armes qui est plutôt bizarre, je ne serais pas vraiment dire quoi mais il y a quelque chose qui me gène, peut être trop aiguë.

    Niveau bande son, j’ai plutôt bien apprécié les différents thèmes mais hélas je trouve qu’ils passent un peu trop inaperçu par rapport aux reste des bruitages (même si bien sur c’est réglable  ). Le doublage français est plutôt bon, et comme durant l’histoire on est pratiquement tous le temps au minimum 2 et bien cela donne droit à de bonnes répliques ! Bon de temps en temps il y a quelques bugs, comme par exemple une phrase qui est répété 5 ou 6 fois d’affilé, mais bon c’est plutôt rare, ça a dû m’arriver 5 ou 6 fois durant le mode solo.

  • Avis sur GTA IV

    gta.JPGJe serais pour ma part un petit peu plus critique que Kamoon sur ce jeu. Même si ce GTA reste un des meilleurs jeux auquel j’ai joué, et un des plus addictif, il coltine tout de même certains défauts difficilement négligeables pour un jeu de cette trempe. Mais commençons par ce qui fait le charme de cet opus : La narration. Voler des voitures, être libre tout ça, ok, c’est classique pour la franchise, mais une narration pareille ! L’histoire en elle-même est une histoire classique de truands, avec les traîtres, les amis, les rebondissements etc… Mais les cinématiques sont d’une qualité exemplaire, chacune est mise en scène avec le moteur du jeu, qui fait des merveilles, et les attitudes des personnages sont criantes de réalismes (les attitudes hein, pas les modèles 3D qui sont très bon mais pas impressionnant). Le tout porté par des acteurs en VO parfaitement crédibles. Bref du tout bon de ce niveau là.

    Ce GTA ce différencie grâce à deux grandes nouveautés : Le téléphone portable qui est la pierre angulaire du jeu, outil multifonction qui gère les amis, les contacts, les missions, le multi joueur, permet d’appeler des numéros non prédéfinis (911, un taxi) etc …On peut tout faire avec lui, et il se révèle très pratique d’utilisation. Autre nouveauté : la possibilité de se planquer derrière les éléments du décor pour canarder à la Gears Of War. Cette possibilité dynamise grandement les combats, même si elle les rend un peu plus lents… Ensuite les classiques du genre fonctionnent, la conduite est certes déroutante, mais pas autant que les suspensions en chamallow. M’enfin une fois passé tout ça c’est du GTA qui tâche. Mais alors pourquoi je lui vois des défauts ?

    Tout simplement car si on le compare au précédent opus, on ne peux que s’indigner face aux petits trucs qui ont disparus. Ainsi fini le fait de se muscler, ou de grossir. La personnalisation de Niko ne se fait qu’à travers les vêtements qui restent finalement très classiques (pas de masques par exemple). Exit aussi la possibilité d’acheter des bâtiments qui rapportent ensuite de l’argent. Enfin la déception se fait dans les armes qui sont extrêmement limitées, et très classiques elles aussi. Terminé le Katana, la tronçonneuse, le mini-gun etc… Et les minis jeux ajoutés n’amusent que le temps d’une partie (billard, bowling, fléchettes). Ces disparitions sont très frustrantes au final car ce qui fait la force d’un GTA, c’est bien sa possibilité de s’amuser sans même suivre l’histoire. Hors ici la mollesse du gameplay (voitures plus lentes, gunfights plus posés), la disparition des armes rigolotes, même le peu de variété des codes (qui était un des éléments les plus utilisés dans GTA SA pour changer de personnage, créer des émeutes etc…) en font un titre nettement plus sérieux, très peu parodique et au final moins délirant. On a gagné en graphisme ce qu’on a perdu en fun. Difficile de concevoir ça comme un simple oubli des développeurs, bien conscients du succès de ces petits détails dans SA, mais plutôt une volonté de faire migrer leur jeu uniquement provocateur dans la catégorie des jeux sérieux pour adultes, bien plus classes pour briller en société. Cependant on a l’impression que GTA a perdu une partie de son âme.

    Mais ne vous y trompez pas, il reste tout de même une référence du genre, le genre de titre qui justifie à lui seul l’achat d’une next-gen (j’en suis la preuve vivante). Mais maintenant que le nouveau moteur du jeu a été inauguré, que Rockstar a gagné ses lettres de noblesses en publiant son jeu « mature », espérons qu’ils oseront aller plus loin au prochain opus, qu’ils se lâchent enfin pour nous proposer la profondeur d’un SA enjolivé par ce moteur graphique digne de nos téléviseurs HD (n’est-ce pas Kamoon ?).

  • Test du jeu Requiem of Hell, suite

    Pour vous aider à gagner ces combats, vous trouverez de nombreuses armes et armures dissimulées un peu partout ayant chacune leur propres caractéristiques ainsi que de nombreux mets délicieux vous remontant votre barre de vie (poulet, pomme, jambe...attention c’était la votre !). Enfin votre personnage pourra aussi se défendre grâce à quelques sorts disponibles par l’intermédiaire de la fée et pourra les améliorer au fur et à mesure de leur utilisation. A propos de la fée, elle vous suivra pendant toute la durée de votre aventure et sera toujours derrière vos pas afin de vous aider et de vous guider dans vos actions. Ne la prenez pas à la légère...elle vous sera très utile vu la difficulté du jeu et surtout son côté « débrouillez-vous ». En effet les quêtes à accomplir ne sont pas réellement citées et apparaissent dans un ordre pas toujours logique (une quête du début que vous ne pouvez faire qu’à la fin par exemple). Cela vous perturbera sûrement et c’est pourquoi votre conscience (la fée bien entendue) sera souvent là pour vous aiguiller sur la bonne voie. De plus, elle pourra vous guérir en cas de blessure grave et elle vous apportera ses magies destructrices.


    Comme dans tout RPG votre personnage a des statistiques le concernant (Niveau, expérience, sorts, attaques...) : tout ceci est stocké dans l’inventaire avec les objets portés ainsi que leur explications détaillés. A noter que le défilement de ceux-ci est assez pénible vu sa lenteur.
    Pour finir avec les caractéristiques de RoH, sachez que les graphismes en 3D isométriques sont soignés et variés (malgré le thème persistant de « fin du monde ») et que l’ambiance sonore « renversante », comme dirait Nokia, est tout simplement parfaitement adaptée au charme gothique qui règne dans le soft. Du point de vue gameplay, les combats sont assez durs à manier car le personnage ne tape pas toujours le bon monstre (ou vise à côté) et il vous arrivera très souvent de mourir...sauvegardez souvent ! D’un autre côté de nombreux coups sont disponibles pour votre personnage et les armes élémentales créeront de nouvelles magies lors de vos attaques.

    Requiem of Hell, est-il finit ?

    On arrive à la partie qui permet de se poser des questions sur le jeu en lui-même... En effet, il est agréable à jouer et mérite une bonne note mais quelques détails se sont échappés et ont le mérite de décevoir énormément le joueur : Requiem of Hell parait ne pas être complètement fini et affiche quelques bugs qui ne devraient pas se présenter dans un jeu vendu.

    Tout d’abord les dialogues défilent souvent sans s’interrompre ce qui ne laisse pas toujours le temps de lire entièrement la phrase ; pire encore, si vous avez de la chance, vous pourrez trouver des bouts de textes non traduits et dans une langue étrangère ! Au niveau du jeu, les actions ne sont pas toujours coordonnées et un personnage peut demander quelque chose qui a déjà été réalisé mais qui devait être fait un peu plus tard (on doit donc suivre à la lettre les pensées du scénariste...). D’autres bugs sont présents mais on ne s’y attardera pas. A vous de les trouvez !

    Tout laisse donc à croire que le jeu a été terminé à la dernière minute et que les bêta-testeurs n’ont pas eu le temps de faire leurs rapports...

    Conclusion

    Malgré donc les quelques bugs qui sont présents dans le jeu, Requiem of Hell a la chance de venir en tant que « premier RPG » sur N-Gage car même s’il mérite un regard positif, on s’attend à quelque chose de meilleur sur notre console. Espérons qu’il serve d’exemple et de leçon aux prochains arrivants.


     

  • Test du jeu Requiem of Hell

    Fan de RPG réjouissez-vous : Requiem of Hell, d’ailleurs premier jeu du genre à sortir sur N-Gage ne vous laissera sûrement pas indifférent grâce à son ambiance d’horreur, son histoire terrifiante mais aussi grâce (ou plutôt malgré) à de quelques points négatifs qui rabaissent énormément le jeu pourtant si attirant...

     

    Si vous suivez un peu l’actualité des jeux sur mobiles, vous aurez sûrement remarqué que deux des meilleurs RPG disponibles sur le net proviennent de la même société : Digital Red. Apres Nightmare et Sango, Digired s’attaque désormais à un niveau supérieur en tant que console : notre N-Gage. Plus de capacité, plus de performance, les développeurs étaient donc capables de nous concocter notre Diablo à nous et le résultat est, en effet, assez sympathique.

    Tout d’abord RoH veut marquer l’attention et donner une impression d’un jeu fort en action grâce à une cinématique de toute beauté à l’allumage, d’un menu très original, superbe et complet, de graphismes très détaillés, d’une bande sonore gothique vous plongeant dans un univers sombre et mystérieux... Tant de point qui en font un RPG très réussi mais ce n’est qu’une façade cachant un problème assez mystérieux.

    Requiem of Hell : un scénario émouvant...

    Comme cité plus haut, Requiem of Hell est véritablement un Diablo-like, l’un des RPG le plus connu dans le domaine des jeux vidéo. L’ambiance sordide est la même, le personnage traverse des mondes obscurs en direction des enfers et rencontre sur son chemin monstres et amis en tout genre. Comme dans tout bon jeu de rôle, un scénario solide et concret doit être installé pour permettre au joueur de comprendre la situation et de la voir changer au cours de ses actions. Pour cela, une dizaine de minutes est nécessaire au début, rempli de papotages, d’action, et de choix décisifs.

    En gros, le monde va mal, très mal. Dalu, un démon de l’enfer, s’est libéré de ses chaînes et n’a qu’un seul but dans la vie : la mort. Se nourrissant de la haine des hommes par l’intermédiaire de l’arbre du dragon, il invoque des centaines de monstres tous plus hideux les uns que les autres et part à la conquête de la Terre et surtout à sa destruction.
    Des milliers de gens meurent ; enfants, femmes, hommes mais aussi malfrats, brigands et voleurs. C’est d’ailleurs l’un de ces derniers que vous êtes invités à choisir au commencement. Auparavant mort, une fée et son « père », dernier espoir du monde, vous ressuscitent et c’est ainsi que commence pour vous un long voyage en direction des entrailles de la Terre.

    Tout pour plaire

    Le monde que vous aurez à parcourir se compose de nombreux niveaux empilées les uns sur les autres vous amenant à chaque fois de plus en plus près de l’enfer. Chacun de ces niveaux renferme un mystère, une quête ou des objets uniques à trouver. Malheureusement, pour les accomplir, il vous faudra combattre car les cartes sont désormais infestées de monstres qui ne cherchent que de la viande fraîche à se mettre sous la dent (miam la belle jambe).