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Sport

  • Les plus grandes équipes du jeu FIFA

    L'espagne 2008-2012 , la France 1998-2000, voila certaines des plus grandes équipes du foot FIFA. Livrons-nous à un récapitulatif de ces grandes équipes qui ont marqué l'histoire du jeu FIFA

     

    • Italie 1934-1938 :

    Ce qui en a fait une grande équipe : C'est l'équipe la plus couronnée de l'avant-guerre. Sous la houlette du légendaire Vittorio Pozzo à partir de 1932, les Italiens perdirent tout juste sept matches internationaux en dix ans. Ils conquirent la Coupe du Monde FIFA en 1934 et 1938 et s'imposèrent lors des Jeux Olympiques de 1936. Extrapolant les méthodes d'entraînement de l'Autrichien Hugo Meisl ou de l'Anglais Herbert Chapman, la phalange de Pozzo possédaient un art consommé des longues passes et tiraient la quintessence de son défenseur central offensif. Pozzo lui-même était un maître en psychologie, qui définissait son approche des joueurs comme "une main de fer dans un gant de velours". Seuls deux joueurs vainqueurs de la première Coupe du Monde de Pozzo évoluaient encore dans l'équipe quatre ans plus tard, ce rend le rôle de l'entraîneur d'autant plus décisif.

     Ses vedettes : Gianpiero Combi resta considéré comme le meilleur gardien que l'Italie ait connu jusqu'à l'avènement de Dino Zoff. Tout comme Zoff près de 50 ans plus tard, il était également capitaine de la Squadra Azzurra victorieuse de la coupe du monde en 1934. Giuseppe Meazza, un milieu aux qualités remarquables, marqua 33 buts en 53 matches internationaux et fut à l'origine d'autant de réalisations. Meazza et le milieu gauche Giovanni Ferrari furent les deux seuls joueurs italiens à brandir deux coupes du monde lors de cette décennie.On fait l'hypothèse qu'une telle équipe attendrait des sommets aujourd'hui en matière de crédits fifa si elle était prise dans le jeu fifa 16

     

    • L'URSS : 1956-66

    Ce qui en a fait une grande équipe du jeu FIFA  : Elle fut égale à elle-même au cours de ces douze années, qui la virent atteindre la finale de trois Championnats d'Europe sur quatre, deux quarts de finale ainsi qu'une demi-finale de coupe du monde. Au cours de cette période, les résultats enregistrés par l'Union Soviétique restèrent quelque peu en deçà des espoirs placés en elle, même si elle réussit à conquérir la médaille d'or aux Jeux Olympiques en 1956 et à remporter le premier championnat d'Europe des Nations en 1960. Les critiques reprochèrent parfois le manque que créativité des Soviétiques, mais ceux-ci avaient des qualités physiques et mentales à nulle autre pareil et ils inaugurèrent une nouvelle époque dans le football européen.

     Ses vedettes : Malgré sa petite taille, Igor Chislenko était un avant de talent, qui brilla de mille feux lors des coupes du monde en 1962 et en 1966. Son expulsion lors de la demi-finale face à l'Allemagne en 1966 sonna le glas des espoirs soviétiques. Mais la vedette incontestée de l'équipe était Lev Yachine. Surnommé l'Araignée Noire ou la Panthère Noire à cause de sa tenue de gardien noire comme jais, Yachine est souvent considéré comme le meilleur gardien de but de tous les temps. Seul gardien à avoir remporté le Ballon d'Or, il disputa toutes les grandes compétitions auxquelles les Soviétiques participèrent entre 1956 et 1966 et il était encore réserviste lors du Mundial de 1970 au Mexique, alors âgé de plus de 40 ans.

       

    • Brésil : 1970

    Ce qui en a fait une grande équipe de FIFA : Il y a certes eu d'autres grandes équipes du Brésil, mais aucune ne frappa les esprits plus que le cru 1970, qui s'adjugea la coupe du monde FIFA 1970 avec brio. L'équipe de Mario Zagallo ne jura que par l'attaque et sa défense fut souvent réduite à sa plus simple expression. Le Brésil remporta cette coupe du monde haut la main, seules l'Angleterre et la Roumanie "réussissant" à s'incliner par moins de deux buts d'écart. Expressive, artistique, fascinante, exotique : tous les qualificatifs du monde ne parviendraient pas à décrire cette équipe tout simplement magique.

     Ses vedettes : En 1970, Pele connut une deuxième jeunesse extraordinaire. Jairzihno marqua lors de chaque match de la phase finale. Tostao, que Zagallo utilisait comme avant-centre et Rivelinho, un ailier gauche surdoué et rapide. Carlos Alberto gardait l'œil sur sa défense, mais il semblait lui aussi naturellement porté vers l'offensive.

     

  • Les plus grandes équipes du jeu FIFA suite

    Voici un passage en revue des plus grandes équipes de l'histoire du foot FIFA : ces équipes de légende qui n'ont pas forcément tout gagné mais qui ont marqué les esprits des fans de foot.

    1. Les reines sans couronne

    A chaque fois qu'une grande équipe remporte un trophée, des adversaires malheureux échouent de peu.

     

    • Brésil 1982 : Grâce à son milieu, où évoluaient des joueurs comme Falcao, Socrates et Toninho Cerezo, Zico cette équipe du Brésil fut l'une des plus séduisantes avec certains des plus grands joueurs de foot Brésiliens : lors de la coupe du monde 1982, elle marqua quinze buts en cinq matches, mais ses lacunes défensives lui furent fatales face à l'Italie (3-2). Mais en déployant son jeu offensif, elle régalait les spectateurs.

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    • Hongrie 1954 : Après avoir remporté les Jeux Olympiques en 1952, la prestigieuse équipe de Hongrie échoua lors de la coupe du monde. Ferenc Puskas et son coup de patte magique et Sandor Kocsis opéraient juste devant un Nandor Hidegkuti extraordinairement créatif. La Hongrie fut la première équipe non-insulaire à battre l'équipe d'Angleterre à Wembley en 1953, se contentant de gagner 6-3 alors qu'elle aurait pu marquer dix buts. L'année suivante, elle écrasa l'Allemagne 8-3 dans sa poule. A nouveau opposée à l'Allemagne en finale, elle allait s'incliner 3-2, après avoir mené par 2-0 après à peine 8 minutes de jeu et alors que Puskas, sérieusement blessé, ne participait réellement plus au jeu.

     

    • Pays-Bas 1974 : Cruyff, Neeskens, Krol et consorts enthousiasmèrent le monde entier avec leur "football total" et leurs maillots oranges lors de la coupe du monde 1974 mais durent s'incliner en finale face à l'Allemagne de l'Ouest. Sans le génial Cruyff, les esthètes du football allaient à nouveau se hisser en finale de la coupe du monde quatre ans plus tard.

     

     

     

          2 . Les vainqueurs

    • Allemagne Fédérale : 1972-74

    Ce qui en a fait une grande équipe : Avant que la France ne l'imite 20 ans plus tard, l'Allemagne de l'Ouest avait été la seule équipe a détenir simultanément les couronnes mondiale et européenne. Sous la houlette d'Helmut Schön, elle fit preuve d'une efficacité extraordinaire et d'une défense impériale, cadenassée par un grand libero, Franz Beckenbauer. Porté à bout de bras par un Gunther Netzer diabolique, cette équipe allait conquérir le championnat d'Europe en 1972. Deux ans plus tard, Schön eut l'intelligence de remplacer ce dernier par Wolfgang Overath lors de la coupe du monde. En finale, les Allemands attristèrent tous les observateurs neutres en venant à bout des Pays-Bas de Johan Cruyff et ne reçurent peut-être jamais la reconnaissance qu'ils méritaient vraiment pour leur version du football total et pour avoir jeté les bases de l'emprise que l'Allemagne allait exercer sur le football européen durant trois décennies.

     

    Ses vedettes : Franz Beckenbauer symbolise le flegme du libero et Gerd Müller fut le plus réaliste des buteurs modernes, mais des joueurs du calibre de Netzer, Overath, Uli Hoeness et Rainer Bonhof jouèrent également un rôle crucial à des moments clés pour une équipe d'Allemagne regorgeant de talent.

     

    • Pays-Bas 1988 :

    Ce qui en a fait une grande équipe : Une équipe extraordinaire dans tous les compartiments. Comme toutes les équipes néerlandaises cependant, ses résultats ne furent pas à la hauteur des espérances. Elle ne remporta que le championnat d'Europe en 1988. Emmenée par le duo de l'AC Milan Ruud Gullit - Marco van Basten ainsi que Frank Rijkaard, le départ des Néerlandais lors de l'EURO 88 avait été catastrophique, mais ces derniers redressèrent la barre et finirent par s'imposer haut la main. Entraînée par Rinus Michels, celui-là même qui était passé si près de la coupe du monde 14 ans auparavant, l'équipe oranje n'allait jamais confirmer, se montrant décevante lors du Mondiale de 1990 et de l'EURO 92™, malgré un football chatoyant.

     

    Ses vedettes : Marco van Basten. Sa carrière allait être brusquement interrompue par une blessure, mais il était au sommet de son art lors de l'EURO 88™, marquant notamment un formidable triplé face à l'Angleterre lors des poules ainsi qu'un but d'anthologie contre l'Union Soviétique en finale. Gullit était le métronome de l'équipe et Rijkaard ne lui enviait presque rien. On trouvait également dans l'équipe des joueurs moins médiatiques, mais tout aussi importants : Ronald Koeman, Gerald Vanenburg, Arnold Mühren et le gardien Hans van Breukelen.